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22 juin 2021 2 22 /06 /juin /2021 04:13

Les Principales Organisations Mondialistes

 

En route vers le Gouvernement Mondial Unique

 

 

Partie 6 : La Stratégie de la Guerre par les initiés du Nouvel Ordre Mondial

 

« Les hommes trébuchent parfois sur la vérité, mais la plupart se redressent et passent vite leur chemin comme si rien ne leur était arrivé. » Winston Churchill.

 

« La guerre, c’est la guerre des hommes ; la paix, c’est la guerre des idées. » Victor Hugo.

 

« Une guerre est juste quand elle est nécessaire. » Nicolas Machiavel.

 

« La guerre future sera une guerre invisible. C’est quand ses récoltes seront détruites, ses industries paralysées, ses forces armées incapables d’agir qu’un pays comprendra tout à coup qu’il était en guerre et qu’il est en train de la perdre ».

 

Durant la dernière conférence de l’OTAN, tenue à Washington au printemps de 1999, Jacques Chirac a joué la mouche de coche. Tony Blair, lui, a passé trois heures dans la coulisse avec Clinton, Madeleine Albright et Sandy Berger (Conseil National de Sécurité), puis il est parti discourir à Chicago devant le Conseil économique de l’endroit, qui n’est qu’une filiale du Chicago Council on Foreign Relations, branche régionale du C.F.R. de New York.

 

En réponse à diverses questions, Tony Blair a précisé : « En effet, l’Otan est notre bras militaire pour un Nouvel Ordre mondial. »

 

De fait, quelques jours plus tard, le Wall Street Journal titrait : « L’Europe mène le jeu », et saluait l’ordre de Javier Solana au commandant en chef de l’Otan de préciser rapidement ses intentions stratégiques d’ici le mois d’octobre prochain.

 

Solana est au club de Bilderberg, chargé des rapports euro-américains depuis 1954. Il vient d’entrer en Trilatérale. Clinton est membre des deux organismes et  du C.F.R., auquel appartient le général Wesley Clark.

 

L’OTAN est le bras armé du Nouvel Ordre Mondial

 

Il suffit de lire Reginald Dale, chroniqueur de l’I.H. Tribune, le 16 mars 1999, évoquait la session de la Trilatérale à Washington quelques jours plus tôt, et ironisait à propos des Japonais et autres européens qui se plaignaient de « l’arrogance américaine » et d’une conspiration menée à l’échelle mondiale par ce club : « S’il s’agit d’une conspiration, écrivait Dale, on peut regretter que le monde ne bénéficie pas plus de conspirateurs de ce genre… »

 

Daniel Vernet du Monde écrivait : « La naissance d’un nouvel internationalisme… Tony Blair en est le chantre avec l’Otan pour en assurer la réalisation ». Quels éditorialistes, commentateurs, philosophes, parlementaires, industriels se sont, en France, intéressés à ces déclarations ? Apparemment, personne…

 

 

Une bonne majorité d’hommes politiques français de droite comme de gauche se gardent d’en parler. Ils ont peur, quand ils ne sont pas en quête d’élection ou de réélection. Certains personnages connus de la politique française (nous éviterons de citer des noms) sont membres de la Trilatérale et/ou de Bilderberg ; ils cachent leurs affiliations et se rendent à ces clubs en rasant les murs, comme autrefois petits et grands bourgeois se rendaient au bordel ou en Loge. Ils sont ces « transnationaux » qui pour une poignée de privilèges et de commissions occultes, cèdent les pays d’Europe à l’Internationale des apatrides, la main sur le cœur, l’humanitarisme en bandoulière. Ils se disent pour l’Europe des Nations, après avoir voté les traités qui impliquent la disparition des Etats-Nations, au profit des multinationales, dont la Trilatérale et Bilderberg sont les centrales visibles, et des clubs et loges moins voyants, les courroies de transmission.

 

D’où leur haine de tous ceux qui osent dénoncer leurs affiliations, qu’ils soient d’ailleurs de droite ou de gauche. Ils prétendent qu’il s’agit de « progrès », en regard des ringards anti-européens, alors que ceux-ci sont pour une autre conception de l’Europe. Ou alors, ils invoquent le racisme et l’antisémitisme pour mettre en scène leur « maccarthysme », leur « terrorisme intellectuel » de façon à museler les consciences par la peur et de brider tout esprit critique. En réalité, ils veulent détruire la civilisation de l’esprit, au profit de ce que Georges Bernanos appelait « l’ère des robots ».

 

L’O.T.A.N. est née sous la poussée de la menace soviétique en Europe orientale, le 4 avril 1949, où fut signé à Washington le « Traité de l’Atlantique Nord », un traité non seulement militaire, mais économique et politique dans le cadre des Nations Unies.

 

 

L’O.T.A.N. (Organisation du Traité de l’Atlantique Nord) ou Pacte Atlantique consacrait la solidarité de l’Europe occidentale avec les Etats-Unis, en mettant le continent européen sous la protection et le contrôle américains, et dans le même temps prenait acte du partage de l’Europe en deux blocs, en conformité avec ce qui avait été établi à la Conférence de Yalta. Les douze pays signataires, à l’origine, réaffirmaient leur fidélité aux principes de la Charte des Nations Unies, et fixaient au Pacte un rôle exclusivement défensif. Mais le Pacte avait une valeur non seulement militaire, mais aussi économique, culturelle et sociale ; l’article 2 déclarait en fait :

 

« Les parties contribueront au développement de relations internationales pacifiques et amicales, en renforçant leurs libres institutions, en assurant une meilleure compréhension des principes sur lesquels ces institutions sont fondées et en développant les conditions adaptées pour assurer la stabilité et le bien-être. Elles s’efforceront d’éliminer toute opposition dans leurs politiques économiques internationales et encourageront la collaboration économique entre chacune d’elles et entre elles toutes. »

 

Traité militaire, fidélité à la Charte des Nations Unies, intégration économique entre les deux rives de l’Atlantique ; ce sont exactement les ingrédients pour une union, pour un gouvernement supranational atlantique dirigé par l’O.N.U.

 

 

Beaucoup d’années ont passé depuis, mais c’est justement ce qui nous permet de reconnaître aisément la justesse de la thèse que nous venons d’énoncer :

 

- Les USA, en fait, retirent progressivement de l’Europe leur parapluie nucléaire et leurs troupes, obligeant les Européens à s’acheminer sur la voie d’une unification politique, économique et sociale à caractère socialo-fabien, c’est ce qui s’est mis en place avec le traité de Rome en 1957 ratifiant la création de la « Communauté Economique Européenne » (CEE). En 1992, le traité de Maastricht prend la suite de l’Acte unique et institue une union politique qui prend le nom « d’Union Européenne » (UE) et prévoit la création d’une monnaie unique et commune : l’euro.

 

- Le leadership anglo-américain sur l’Europe reste encore indiscuté et indiscutable.

 

- La détente avec l’Est continue à un rythme accéléré avec comme perspective d’étendre la fédération européenne jusqu’à l’Oural.

 

- L’édification du Gouvernement Mondial sous l’égide de l’O.N.U. couronnera le programme.

 

Evidemment, le plus grand obstacle pour les mondialistes est constitué par l’Europe, berceau de la civilisation chrétienne, avec ses influences grecques et romaines, qui l’a formée et qui, comme un phare dans la nuit noire, éclaire l’Occident et le monde de ses valeurs et traditions enracinées dans les différents peuples de la vieille Europe ; dans laquelle la culture a atteint des sommets incomparables en atteignant dans le social cette unité dans la pluralité et dans la diversité, qui est synonyme d’ordre, de fraternité, de beauté et d’harmonie.

 

Pour unir l’Europe sur des bases différentes, sur des bases humaines ou, pire, pour construire l’unité européenne sur une convergence de simples intérêts économiques et financiers, il faut donc enlever à la racine cette mémoire historique, cette conscience d’un passé brillant et éclatant, éliminer la persistance d’un type d’homme inséré dans sa terre, avec ses traditions, ses lois et ses usages. Pousser à un état d’anarchie généralisé, isoler l’individu dans son égoïsme et son matérialisme, rétablir les ténèbres de la barbarie païenne dans la société, mélanger les différentes ethnies en les déracinant de leur terre, grâce à des conflits régionaux savamment montés de toutes pièces et en les mélangeant de force aux populations natives occidentales sous-prétexte d’humanisme et d’antiracisme, alors que ceux-là même qui se disent humanistes et antiracistes (socialo-gauchistes, bobos, écolos) sont en réalité les premiers racistes (aimant se faire servir par des gens de couleurs : serveurs, femmes de ménages, coursiers, etc.)

 

Et, surtout n’aimant pour rien au monde la mixité sociale, c’est-à-dire ne pas se mélanger ni fréquenter la classe ouvrière : les prolétaires de bas étages, postcoloniaux, néoconservateurs et libéraux inféodés au Capitalisme le plus dur, le plus intransigeant et à la marchandisation de tout y compris des corps et des âmes… Ainsi, qu’à une Lutte des Classes les plus sévères remontant aux pires années du XIXe siècle avec son cortège inéluctable d’inégalités sociales et économiques entre les individus et les groupes composant la société… Ce qui ne présage rien de bon pour les jeunes gens d’aujourd’hui, pour leurs avenirs professionnels et leurs futurs retraites… En un mot enterrer les Nations, ce sont-là, les lignes directrices suivies par les mondialistes.

 

 

 

Un homme sans racines, sans traditions, sans références, sans terre, sans autre but dans la vie que le plaisir ou l’accumulation de richesses matérielles ; voilà exactement le modèle de société recherché par les mondialistes : des marionnettes, un peuple soumis, une masse docile dont les prétentions ne dépassent pas le bien-être matériel et dont la vision du monde, vaste seulement en apparence, est limitée aux vacances de type « Club Med » ou « AirBnB », ne dépasse pas en réalité les limites étroites de sa médiocre existence, de ses pensées et croyances limitantes, de ses idées conformistes et préjugés intellectuels grâce à un travail de longue haleine de sape et de formatage menée avec complaisance par l’Education Nationale sous les ordres de l’Etat providence ! Le tout en conformité avec les idées coméniennes, la vision des Sages de la Renaissance sous l’égide et le patronage de Jan Amos Komensky dit Comenius ; à qui nous devons les méthodes d’apprentissage scolaire moderne dont nous constatons les dommages, au niveau de l’illettrisme et de l’inculture, quasi irréparables pour l’avenir de la jeunesse et de la société… ce qui est, à mon sens, un crime par anticipation pour l’avenir de la civilisation !

 

Et, si cela est nécessaire, mené le peuple à la guerre civile puis à la guerre mondiale pour parvenir à réaliser les desseins de la Fraternité occulte ! Détruire la civilisation européenne dans ses fondements, limitée les souverainetés nationales, régionalisés les états sous la supervision de l’Union Européenne succursale continentale des Nations Unies et des organisations mondialistes semi-secrètes.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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