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16 mars 2010 2 16 /03 /mars /2010 20:21

L’Au-delà et la Survivance de l’âme

 

Lorsque le souffle (l’âme) quitte le corps, nous disons que l’être est mort, mais ce n’est là que le début de la mort, les signes avant coureur. La mort est une étape transitoire qui se poursuit sur d’autres plans vibratoires.


 

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Bien que tous les symptômes fassent décréter la mort par le médecin, des énergies sont à l’œuvre dans le cerveau et tant que leur travail n’est pas terminé, l’être n’a pas encore réellement « quitté notre monde ». Une fois l’œuvre achevée, le corps astral ou « double » de la personne se détache du corps physique. Dès lors, commence la phase décrite dans les expériences de NDE (décorporation, vision du tunnel et de la lumière).

 

La tradition enseigne que l’état d’esprit d’un homme qui meurt est importante. La dernière pensée d’un mourant influence son futur immédiat, tout comme la manière dont il est mort (lors d’un accident violent ou en dormant dans son lit). Les suicidés et ceux qui ont été victimes d’une mort brutale demeurent dans un état intermédiaire. Ils ne sont pas tout à fait « morts ». Leurs principes vitaux doivent attendre que le véritable terme naturel de leur vie soit atteint. Cela peut durer quelques jours comme plusieurs dizaines de nos années (mais le temps là-haut n’est pas celui d’ici bas). Certaines entités passent cette période dans de grandes souffrances, d’autres dans une sorte de sommeil peuplé de brumes. Quand l’homme meurt, ses principes inférieurs se séparent de lui définitivement.

 

Cette séparation est tout à fait naturelle. Le corps matériel avec tous ses éléments est abandonné à la terre dans laquelle il poursuit sa décomposition. La partie psychique, personnelle de l’être, (composée du corps fluidique, des pensées ordinaires, des passions et désirs) forme sur le plan astral une entité privée de conscience, une coque résiduelle qui se désagrège lentement. Cette « coque astrale » conserve le souvenir de tout ce qui s’est passé durant sa vie. Cette coquille rejetée par chaque être humain est dépourvue des principes supérieurs qui précédemment la guidaient.

 

Elle erre sans volonté propre, entièrement gouvernée par les attractions des champs astraux et magnétiques. Privée d’âme et de conscience, les coques ne sont nullement les « esprits » des morts. Ce sont les vêtements dont ils se sont dépouillés, les résidus vibratoires de ce qu’ils ont été. Ce sont les fantômes qui hantent nos maisons. Les coques sont attirées magnétiquement vers les médiums. A leur contact, elles se raniment durant un bref moment et vivent dans l’être sensible par « procuration ». Dans l’aura du médium, la coque connaît une sorte de vie d’emprunt. Elle raisonne et parle et peut se matérialiser, empruntant les forces du médium et celles des autres personnes présentes. Les coques des personnes grossières et tournées vers le matériel ont tendance à s’accrocher davantage et donc à survivre plus longtemps que les autres.



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Leur force astrale subsiste longtemps après leur mort. Quant à l’âme, immortelle, elle devient un être purement mental revêtu d’un vêtement éthéré, dont elle se dépouille quand elle repart sur terre endosser une nouvelle enveloppe charnelle. Quand le cœur s’arrête, que le corps devient froid et que les yeux se ferment, toutes les forces du corps et du psychisme se précipitent à travers le cerveau. La vie entière s’imprime par une série de tableaux vivants. La personne voit sa vie passée se dérouler devant elle dans ses plus infimes détails, jusqu’aux impressions les plus fugitives. Elle comprend l’enchaînement des causes et des effets qui ont dirigé sa vie, qui l’ont amené à connaître des expériences particulières, joyeuses et douloureuses. Elle se voit, sans masque flatteur. Elle déchiffre son existence en spectateur et se juge elle-même. Cette phase arrive à tout le monde, sans exception. Certains êtres avancés peuvent voir, leur dernière existence mais aussi d’autres vies antérieures. Ils peuvent alors contempler les lois justes du karma.

 

Dans le moment qui suit la mort, après s’être dégagé de son enveloppe matérielle (la sortie du corps étant souvent vécue comme un passage dans un tunnel débouchant sur une belle lumière), l’être se retrouve dans le monde physique qu’il connaît. Ses sens sont élargis (don de deviner les pensées par télépathie, de voler, de se déplacer à grande vitesse). Il est doué d’un nouveau corps, décrit souvent comme très proche du corps physique. Sa principale différence réside, non dans sa forme, mais dans son état. La nouvelle enveloppe du trépassé lui semble aussi consistante que l’ancienne. Elle possède une réalité matérielle propre.

 

Les corps dans l’au-delà ressemblent par leur aspect à nos corps physiques mais leurs capacités sont plus étendues. Alors que dans notre monde, nos sens sont limités par la matière, l’espace et les distances, dans l’au-delà, nous sommes en mesure de capter des phénomènes éloignés et des états de matière différents des nôtres. Notre champ de perception est plus vaste dans tous les sens du terme. Nous appréhendons différemment le temps et l’espace.

 

Peu à peu, passé le choc du grand passage, l’être commence à percevoir autour de soi des présences invisibles rassurantes qui prennent de plus en plus d’intensité. Il s’agit de parents et d’amis décédés qui sont venus l’accueillir ou l’emmener avec eux dans le monde vibratoire qui lui convient, celui avec lequel il a des affinités vibratoires de par son niveau d’évolution spirituelle. Si pour beaucoup, la mort semble être un sommeil éternel, ce n’est qu’une illusion. Mourir, c’est l’inverse de dormir. C’est la vie qui est un rêve, non la mort.



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La mort, c’est le réveil à la vraie vie, celle des vérités essentielles, des idées premières, de l’essence qui a présidé à la création de toutes choses. La mort ouvre sur une autre dimension, un autre plan de conscience. Le monde de l’au-delà est un espace virtuel où tout existe en puissance, où tout peut être créé, par la volonté et la force de l’esprit. L’activité imaginaire y devient créatrice. Cette fonction de création est fréquemment évoquée dans les messages des entités décédées. L’univers de l’au-delà ressemble à l’espace onirique ou à ces jeux pour ordinateur où l’expérimentateur construit son monde au fur et à mesure de sa progression. L’image mentale est projetée dans l’espace vibratoire environnant qui sert de support aux matérialisations. Il y a condensation, cristallisation puis projection des idées. Vous avez envie d’une belle maison au bord d’un lac ? Rien de plus facile, il suffit de la construire par la seule force de votre pensée. De nombreux esprits ont décrit des champs remplis de fleurs, des cités, des collines, des bois, des mers, des ciels, semblable à ceux que nous connaissons sur la terre.

 

Les êtres de l’au-delà affirment pouvoir effectuer des projections corporelles à plus ou moins grande distance. Pour eux, capter un phénomène revient à la rejoindre, non seulement par les sens, mais aussi effectivement, comme si la voie sensorielle était devenue une voie dynamique. Vous pensez à un endroit et vous vous y trouvez, instantanément projeté. L’esprit est sans limite. Il peut aller où il veut, quand il le veut, à la vitesse de la pensée.

 

Nous voyons que les corps spirituels ne sont pas restreints à une enveloppe, ni à l’espace ni à un temps. Ils sont plus sensibles, plus actifs. Les mondes d’en haut paraissent aussi réels aux entités que notre monde physique. Ce sont des terres élargies à des dimensions supérieures et possédant leur propre réalité matérielle. Elles ne se trouvent ni au ciel, ni « ailleurs ». Elles occupent le même espace que notre univers physique, mais dans une vibration temporelle différente. Elles sont baignées en permanence par une belle lumière qui irradie littéralement de chaque être, chaque plante, chaque objet spirituels.

 

Dans ces univers règne en maître la vie créatrice et intellectuelle mais à un degré bien supérieur au terrestre. Chacun peut y poursuivre un travail, une mission, une vocation commencés sur terre. Chacun peut recevoir des enseignements, opter pour une voie de service, suivre une formation nouvelle… Tout est paix, quiétude et harmonie. L’univers spirituel étant aussi immense sinon plus que l’univers physique, il est possible à chaque entité de se créer sa bulle personnel et de vivre dans le monde qu’elle désire, dans une solitude, soit librement choisie, soit contrainte. Ainsi, un suicidé aura tendance à se replier sur lui-même, à revivre les émotions et les souffrances qui l’ont conduit à la mort, à s’enfermer dans un système d’autopunition dont il devra se sortir lui-même, en laissant peu à peu la lumière lui révéler l’absurdité de son état de prostration.

 

Nous ne serions pas les seuls après la mort à savourer la vie éternelle. Les animaux suivent également un lent processus évolutif. Etant dotés d’une âme, ils se rendent dans l’au-delà qui leur est destiné. Bon nombre de personnes décédées ont retrouvé leur animal favori après la mort. La condition sine qua non des retrouvailles semble être un amour sincère et réciproque.

 

Après un temps moyen d’une trentaine de nos années environ, les fils magnétiques qui rattachent l’âme à la terre commencent à se réactiver. L’âme se rendort peu à peu, puis est rapidement emportée vers un nouveau corps. Juste avant la naissance, elle perçoit l’espace d’un instant, toutes les causes qui l’on amenée à vivre cette vie, pas une autre.

 

Tout ce que nous savons des mondes d’en haut, nous le tenons de la bouche même des esprits. Certaines de ces informations ont été confirmées par les personnes ayant vécu une NDE. Pour les occultistes, il existerait sept mondes vibratoires allant du plus dense au plus subtil :

 

- PHYSIQUE (la terre),

- ETHERIQUE,

- ASTRAL

- MENTAL,

- CAUSAL,

- BOUDDHIQUE,

- DIVIN.

 

En une sorte d’immense sablier, les mondes s’empileraient les uns au-dessus des autres, comme les étages d’un immeuble. Il est fort probable que chacun de ses plans soit lui-même subdivisé en différents degrés. Le problème est de savoir quels degrés et quels plans vibratoires nous ont été décrits… Nous l’ignorons.

 

Il semble que le passage étroit correspondant au plan MENTAL représente une étape de transition très importante. Toutes les descriptions que nous avons de l’au-delà ne vont probablement pas plus loin. Nous ignorons donc ce qui se passe au-dessus de la partie centrale du sablier, c’est-à-dire à partir du plan CAUSAL, là où prennent naissance les causes présidant aux idées et à leurs matérialisations.

 

Il se peut que le grand saut permettant à l’être libéré de s’élever jusqu’au plan CAUSAL le plonge dans une sorte de seconde mort temporaire. Ce n’est qu’après ce passage ultime qu’il pourra espérer connaître les joies de la béatitude infinie et la fusion dans la grande conscience divine où s’opère une sorte de transfiguration. C’est l’expérience absolue que le grand Bouddha a expérimenté de son vivant.


 

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Les Voix de l’Au-delà

 

Les morts sont généralement muets mais quelquefois ils s’expriment. De nombreux cas de voix surgies de nulle part et prononcées par des bouches invisibles émaillent l’histoire du paranormal. En 1959, à Paris, dans une charcuterie de la rue Voltaire, on entendait souvent des cris d’enfants à tel point que les locataires finirent par porter plainte. La police se rendit sur les lieux.




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La Transcommunication

 

L’enquête révéla qu’un boulanger avait, quelques années auparavant, fait brûler une fillette de neuf ans dans son four ! Alors, véritable voix de revenants ou phénomènes de résonance vibratoire, mieux connu sous le nom de « mémoire des murs » ? Il a été observé que la présence d’un médium, c’est-à-dire d’une personne hautement sensible (parfois aussi d’un adolescent perturbé) était nécessaire à l’apparition de ces voix d’outre-tombe.

 

Thomas E. Edison, l’inventeur du phonographe et le père de l’électricité, étudia un système capable de communiquer avec l’au-delà. Il déclara en 1920 vouloir construire un appareil sensible permettant aux fantômes qui le désiraient de se manifester aux vivants, sans le truchement de guéridons, de planchettes oui-ja ni autres instruments archaïques. Son projet ambitieux fut malheureusement interrompu à sa mort en 1931.

 

Il semble que le premier enregistrement de voix paranormales eut lieu à l’Université catholique de Milan, en 1952. Le père Agostino Gemelli et le père Pellegrino Ernetti, tous deux physiciens, tentaient de filtrer des chants grégoriens afin d’en éliminer les harmoniques. A cette époque, ils utilisaient un magnétophone à fil. Le fil se rompait souvent et il fallait à chaque fois faire un nœud. Alors que le fil venait une nouvelle fois de casser, le Père Gemelli s’écria, comme il en avait l’habitude depuis le décès de son propre père : « Papa, aide-moi ! » Une fois la réparation effectuée, au lieu du chant grégorien espéré, les chercheurs entendirent la voix du trépassé qui disait clairement à son fils : « Mais bien sûr que je t’aide, je suis toujours avec toi ! » Le père Gemelli en fut totalement perturbé. Un nouvel essai fut tenté. La voix du père de Gemelli se fit entendre à nouveau. Les chercheurs décidèrent alors d’aller en parler au Pape Pie XII.

 

Ce dernier déclara au Père Gemelli : « Mon cher Père, soyez tranquille, ceci est un fait strictement scientifique et n’a rien à voir avec le spiritisme ; l’enregistreur est un appareil objectif qu’on ne peut pas suggestionner, il capte et enregistre les vibrations sonores d’où qu’elles viennent. Cette expérience pourra peut-être marquer le début d’une nouvelle étude scientifique pour confirmer la foi dans l’au-delà. » Ce fait est relaté dans le livre remarquable de Rémy Chauvin et du Père François Brune « En direct de l’Au-delà », paru aux Editions R. Laffont, en 1993.




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Mais le pionnier en matière d’enregistrement de voix paranormales est sans conteste Friedrich Jürgenson. Ancien chanteur de bel canto, cet homme originaire d’Odessa, mais installé en Suède, avait dû se reconvertir, suite à des problèmes de santé, dans la peinture et la réalisation de films. Un soir d’été de 1959, il décida d’enregistrer le chant des oiseaux dans une forêt proche de Stockholm. En écoutant la bande magnétique, il perçut, derrière les chants d’oiseaux des sons étranges, qu’il n’avait pas entendus au cours de l’enregistrement. Des voix mystérieuses s’exprimaient en suédois et en norvégiens. Avait-il capté une lointaine émission radio ou s’agissait-il d’une défaillance technique de son appareil enregistreur ?

 

Friedrich le fit réviser mais celui-ci fonctionnait parfaitement. L’incident se reproduisit quelques semaines plus tard. Repassant une bande après de nouveaux enregistrements, il entendit de lointains piaillements d’oiseaux, plus rien. Soudain, une voix de femme assez faible se fit entendre. Elle disait en allemand : « Friedel, mon petit Friedel, est-ce que tu m’entends ? » « On avait l’impression » déclara Friedrich que « la personne qui parlait faisait un terrible effort pour s’exprimer et qu’elle semblait anxieuse. Il ne faisait aucun doute pour moi qu’il s’agissait de la voix très reconnaissable de ma mère, morte quatre ans plus tôt ».

 

Voulant en avoir le cœur net, Friedrich Jürgenson convia des amis pour d’autres essais. Parmi eux se trouvaient le docteur J. Bjorkhen et une collaboration de la télévision suédoise, Arno Misse. Tous perçurent des bruits surgis de nulle part : la voix d’un vieillard criant le mot : « Pokala ! », nom d’un petit bourg suédois, puis des fragments d’italien et d’anglais, enfin, les bruits d’une rue paraissant proche et une autre voix disant : « Graccula ! », mot latin signifiant « Petite Grecque ! ».

 

Jürgenson renouvela ses expériences des années durant, dans des lieux et des environnements différents. Il crut reconnaître des intonations d’amis défunts lui transmettant des messages à la manière spirite. Craignant d’être victime d’hallucinations auditives, il s’adressa en 1964 à l’Institut de Recherches psychologiques de Fribourg et se soumit à des tests stricts. L’Institut déclara l’origine paranormale des phénomènes. La même année, il publia ses découvertes dans un livre « Voices from the Universe » (« Voix de l’Univers »).

 

A la même époque, il entra en relation avec Friedebert Karger, physicien de L’Institut Max-Planck de Munich. Ce dernier se déclara convaincu de l’existence de voix paranormales sur la bande sonore. Le Bureau centra de Technologie de Berlin tira des épreuves visuelles des bandes et avoua qu’elles présentaient toutes les caractéristiques de voix humaines normales.

 

 

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En 1964, une aventure similaire arriva à Letton Constantin Raudive, parapsychologue. Pendant un enregistrement, on l’appela à l’extérieur. Il sortit quelques instants puis, quand il revint, découvrit sur la bande la voix de sa mère morte qui l’appelait par son diminutif : « Kosti, Kosti ! ». En 1965, Jürgenson rencontra Raudive. Ce dernier entreprit à son tour d’étudier les voix mystérieuses afin de prouver l’existence d’une vie après la mort. Pendant trois ans, il enregistra, en collaboration avec des techniciens spécialisés, pas moins de soixante-dix mille voix. On différenciait certes les voix féminines des masculines mais leur netteté laissait à désirer. Leur cadence évoquait le style télégraphique. De courtes phrases étaient prononcées en anglais, allemand, espagnol, suédois… Parfois, chaque mot d’une même séquence était émis dans une langue différente.

 

Une fois traduit, ils se liaient tous en une phrase cohérente. Raudive capta les voix d’Hitler, de Carl Jung, le célèbre psychanalyste, et celle de Goethe. En 1969, Raudive sortit en Allemagne un livre fort controversé sous le titre « Breakthrough » dans lequel il soutint l’hypothèse de l’existence de communications émanant de personnes décédées. Il déclara avoir reçu la visite de membres de la Nasa qui montrèrent un grand intérêt pour ses recherches. Malgré les attaques des irréductibles sceptiques, Raudive poursuivit ses travaux jusqu’à sa mort, en 1974. L’existence des voix captées par le chercheur ne pouvait être contestée. De nombreux physiciens en avaient eux aussi enregistrées au cours d’expériences pratiquées dans des cages de Faraday hermétiques. Des experts en antiparasitage avouèrent qu’il se passait « quelque chose de tout à fait anormal » en terme de physique ordinaire. Toutefois, c’est à des circonstances connues seulement des expérimentateurs que se référaient les voix. Leurs instructions correspondaient toujours à la personnalité des sujets. Les défunts semblaient désireux de leur venir en aide et de les prévenir de dangers imminents.

 

 

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Le lien existant entre le phénomène et les témoins évoquait un processus psychologique, autrement dit, une disposition mentale engendrant une corrélation physique. Les voix pouvaient en réalité n’être en fait que des enregistrements psychiques émanant de l’inconscient des personnes présentes. Cette idée était renforcée par le fait qu’aucun enregistrement de voix n’avait jamais été obtenu par un magnétophone marchant de lui-même dans une pièce vide ! Les voix d’outre-tombe exigeaient des présences humaines…

 

Le biologiste Lyall Watson, qui lui-même enregistra ce phénomène émit l’hypothèse que les morts avaient peut-être besoin des vivants pour exister. Peu à peu naquit la science de la transcommunication (ou TCI), méthode récente de réception des messages des défunts par l’intermédiaire des techniques modernes de communication ou d’enregistrement. Si au début du siècle, les trépassés ne disposaient que de tables tournantes et de simples oui-ja pour s’exprimer, notre époque a mis aujourd’hui à leur disposition une panoplie d’appareils performants : téléphone, fax, ordinateur, gsm, télévision, caméra vidéo, magnétoscope…

 

Il semble qu’au fur et à mesure de l’apparition de nouvelles technologies, les morts s’adaptaient aux changements. Si l’on admet l’hypothèse que les esprits sont de pures vibrations, il doit leur être aisé de se servir d’appareillages utilisant les ondes comme moyen privilégié de transmission. En France, le Père François Brune, auteur du livre à succès « Les Morts nous parlent » a recueilli une multitude de témoignages troublants en provenance de l’au-delà : appels téléphoniques de trépassés, images paranormales de grande qualité reçues sur le petit écran, enregistrements de voix paranormales sur bandes magnétiques…

 


 

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Petit à petit, une nouvelle technique de dialogue avec les morts a vu le jour. Aujourd’hui, nombreux sont ceux qui reçoivent par ce biais des messages réconfortants en provenance de parents décédés, et entretiennent des contacts avec eux. La méthode la plus simple consiste à laisser tourner un petit appareil sur lequel a été branché un micro. Ensuite, on réécoute la bande à la recherche de bruits ou de voix paranormales. Certains ont élaboré des techniques plus sophistiquées et utilisent l’ordinateur comme support.

 

Les éléments recueillis sont troublants. Ils nous incitent à penser que les morts tentent réellement d’entrer en contact avec le monde des vivants. Rappelons toutefois les risques de mener de telles expériences en solitaire et de manière imprudente. Elles peuvent à la longue entraîner une dépendance et une fuite vers l’irréalité. Prenons toutes les précautions d’usage afin de ne pas nous laisser abuser par des esprits facétieux, pervers ou plus dangereux encore…

 

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