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16 mai 2021 7 16 /05 /mai /2021 00:06

La vie extraterrestre dans l'Univers

Le nombre probable de civilisations dans le Cosmos

 

 

Des astrophysiciens évaluent le nombre de civilisations dans l’Univers

Les astrophysiciens américains ont évalué la probabilité d’existence d’une civilisation développée sur une exoplanète potentiellement habitable, ainsi que le nombre probable de telles civilisations dans l’Univers.

L’information sur leur étude a été publiée par la revue Astrobiology et, en bref, sur le site de l’Université de Rochester.

La conclusion principale est la suivante : la civilisation humaine n’est unique dans l’univers observable que si la probabilité d'apparition d'une vie intelligente  sur une exoplanète habitable est égale à 10 puissances —22 (10-22).

Par conséquent, si on suppose que la civilisation humaine n'est pas unique dans l'espace et que la probabilité d'une  vie intelligente sur une exoplanète habitable est égale à 10 puissances —12 (10-12), l'Univers pourrait compter actuellement environ 10 milliards de civilisations intelligentes.

Les chercheurs en sont arrivés à ces conclusions après avoir modifié l'équation de Drake compte tenu des exoplanètes découvertes à l'heure actuelle. La formule de Drake est une équation entre le nombre de civilisations extraterrestres dans notre galaxie et le produit de sept facteurs.

Dans cette formule, les astrophysiciens ont remplacé sept facteurs par deux. Le premier est le nombre de planètes sur lesquelles apparaît une vie intelligente et le second, la probabilité d'apparition d'une civilisation intelligente sur une exoplanète propice à la vie. Cette approche ne prend pas en considération la durée de vie d'une civilisation.

Si les estimations des chercheurs sont justes, l'humanité doit être l'unique civilisation intelligente dans la Voie lactée : des vieilles civilisations sont déjà mortes et des civilisations nouvelles apparaîtront après la disparition de l'homme (ou bien la communication avec elles exigera une très longue existence de l'humanité).

L’Univers est peut-être plein d’espèces très avancées et invisibles pour nous

L’astronome Franck Marchis, membre de l’Institut SETI, est persuadé que nous pourrons bientôt « voir » directement des exoplanètes habitables. Où se cachent les civilisations aliens ? Pourrons-nous bientôt zoomer sur leurs planètes ? Que répondre au paradoxe de Fermi ? Nous avions beaucoup de questions à lui poser.

Déjà plus de 4 000 planètes ont été découvertes en dehors du système solaire. Les chercheurs soupçonnent qu’elles soient des milliards, rien que dans notre galaxie et un bon nombre pourrait contenir de l’eau liquide et être favorable au développement de la vie. On parle même aujourd’hui d’exolunes potentiellement habitables. Mais malgré des efforts acharnés, nous n’avons encore jamais réussi à détecter de présence ou d’éventuels messages émis par des extraterrestres. Même le mystérieux signal « Wow! » aurait une explication sans avoir pour cela besoin de recourir aux aliens.

Pourtant, nos radiotélescopes et télescopes spatiaux sont de plus en plus performants. Le satellite TESS, successeur de Kepler, additionne déjà les découvertes et la Nasa et l’Agence spatiale européenne promettent de nouveaux appareils encore plus précis. Depuis 1984, la quête de messages aliens dispose même d’un institut dédié : le SETI. Franck Marchis, astronome franco-américain et chercheur membre du SETI, préférerait voir directement ces extraterrestres plutôt que de les écouter. Engagé dans de multiples projets, il est persuadé que nous pourrons bientôt obtenir une image d’une planète similaire à la Terre, d’un « autre point bleu » dans l’univers. Jusqu’à quel point pourrons-nous zoomer sur ces mondes lointains ? Ont-ils de réelles chances d’être habités ? Et comment expliquer le silence de civilisations extraterrestres si elles existent ?

Si les extraterrestres existent pourquoi ne nous ont-ils pas encore contactés ?

Des milliards d’exoplanètes, et pourtant... nous n'avons trouvé jusqu'ici aucune preuve de l'existence de civilisations extraterrestres ! Ce paradoxe, énoncé en 1950 par Fermi et complété par l'équation de Drake, reste une énigme. Du coup, les hypothèses se multiplient pour élucider ce grand mystère.

Où sont-ils tous ? « Trois mots pour résumer un paradoxe qui tient en échec la communauté scientifique depuis plus de soixante ans. Et qui peut se résumer ainsi : « Vu le nombre d'étoiles et de planètes qui composent notre galaxie, les probabilités que des civilisations intelligentes existent quelque part ailleurs sont si fortes que nous devrions déjà les avoir trouvées. Où sont-elles donc ? »

Ils l’ont fait, mais nous n’avons pas détecté leurs messages

Et si les extraterrestres avaient déjà tenté de nous envoyer des signaux… mais que nous ne les ayons pas vus ? Depuis que nous avons pointé des radiotélescopes vers le ciel, nous avons cherché des caractéristiques bien précises qui, selon nous, composeraient la signature indiscutable d'un message : un signal radio, émis sur une bande de fréquences étroite, et répété de façon régulière. Dès 1959, les physiciens Giuseppe Cocconi et Philip Morrison, de l'université Cornell, publient dans un article dans lequel ils pointent le potentiel des micro-ondes radio pour communiquer entre les étoiles. Pour faire la différence entre un signal intentionnel et le bruit de fond de l'Univers, les deux chercheurs proposent de focaliser notre attention sur la fréquence d'émission de l'hydrogène, à 1,42 GHz, l'élément le plus simple de l'Univers, supposément connu de tout radioastronome qui se respecte, fût-il un . Le Seti, fondé par Frank Drake, le premier à avoir utilisé cette méthode, a continué d'épier cette fréquence depuis, sans succès jusqu'à aujourd'hui.

Certes, il a étendu depuis son attention à d'autres fréquences jugées critiques, comme celle de la transition de la molécule d'eau (22,2 GHz). Au fil du temps, de plus en plus de fréquences ont été ajoutées, jusqu'à…

800 millions. Mais qui sait si un message ne nous avait pas déjà été transmis sur l'une d'elles, avant que nous l'écoutions ? Ou sur une autre, jugée plus pertinente par une autre civilisation, pour une raison liée à une loi physique que nous ignorons encore ?

Du reste, qui sait seulement si une civilisation technologique utiliserait les ondes radio pour communiquer ? Peut-être maîtrisent-ils des techniques qui nous sont tout aussi inconnues que la fibre optique l'était pour un spécialiste des communications dans les années 1930.  "Des travaux ont montré que la façon la plus économique serait de communiquer de proche en proche, en utilisant les étoiles comme des radiotélescopes géants. La puissance nécessaire est alors dérisoire, de quelques watts seulement. Si des extraterrestres utilisaient cette méthode, ils viseraient les bords du Soleil, à un endroit où nous n'écoutons pas : ce serait tout à fait normal alors qu'on n'ait rien vu", estime Michaël Gillon, astronome découvreur d'exoplanètes au département d'astrophysique de l'université de Liège.

Autre hypothèse : il est aussi possible que nous ayons bien capté le signal, mais sans l'interpréter comme provenant d'une autre civilisation. Le principe de la répétition, par exemple, n'est peut-être pas adopté par toute civilisation émettrice. Le fait est qu'en quarante ans, de nombreux signaux suspects (ressemblant à nos attentes) ont été détectés, sans être répétés. Et on parvient toujours à leur trouver des explications rationnelles : une explosion de comète ou d'étoile cataclysmique, un plasma interstellaire, un artefact dû aux instruments… Reléguant l'hypothèse extraterrestre au second plan, conformément au principe du rasoir d'Ockham : si on entend un bruit de sabot, il faut écarter l'hypothèse du cheval avant d'envisager celle d'une licorne. Soit.

Mais qui nous assure que ce principe de précaution scientifique, bénéfique dans la plupart des cas, ne nous a pas, une fois au moins, induits en erreur ?

La paternité de ce paradoxe est attribuée au physicien italien Enrico Fermi.

En 1950, lors d'une discussion avec des collègues à la cafétéria du Laboratoire national de Los Alamos, où il travaille alors depuis quelques années, la discussion s'engage sur les ovnis, puis sur les chances d'existence des extraterrestres. Au bout de quelques minutes, en plein milieu du repas, après un léger temps de réflexion, Fermi se serait alors exclamé : « Where is everybody ? »

Ils attendent que nous soyons prêts

Selon cette théorie, baptisée « l’hypothèse du zoo », formulée dès les années 1930 par Constantin Tsiolkovski, un pionnier russe de l'astronautique moderne, la Terre aurait déjà été découverte par des extraterrestres, mais ces derniers nous observeraient tout en se tenant à bonne distance. La Terre serait l'équivalent d'une réserve naturelle, avec laquelle ils évitent d'interagir pour ne pas déranger son évolution naturelle. Comme une tribu primitive que l'on découvrirait en Amazonie et dont on souhaiterait préserver la pureté. Selon John Ball, qui a repris et théorisé cette hypothèse en 1973, les extraterrestres auraient mêmes développé des moyens de se cacher de nos tentatives de les détecter et d'éviter tout contact, que ce soit pour des raisons éthiques ou simplement en attendant que nous ayons atteint un niveau d'évolution (technologique ou philosophique) suffisant.

Certains, dans la lignée de l'astronome Michael Papagiannis, ex-responsable du département d'astronomie de l'université de Boston, pensent ainsi qu'il faudrait pour cela que nous ayons résolu les plus gros conflits de l'humanité (le risque d'apocalypse nucléaire ou environnementale). Cela montrerait aux extraterrestres que nous avons dépassé le stade critique du risque d'autodestruction et les inciterait à prendre contact avec nous. Une variante de la théorie du zoo, dite "l'hypothèse du planétarium", imaginée par Stephen Baxter, un écrivain de science-fiction, va encore plus loin, en avançant que notre monde aurait été créé par une civilisation avancée, sorte de divinité, pour nous donner l'illusion d'un environnement réel. Un scénario digne de la fusion de et du dans lesquels la réalité perçue par les personnages est en fait un décor fabriqué de toutes pièces. Reste à savoir dans quel but. Ces hypothèses, absolument invérifiables, font évidemment l'objet de nombreuses critiques de la part de certains scientifiques.

Ils n’ont pas encore réussi à venir jusqu’à nous

Autre façon d’entrer en contact : faire directement le voyage jusqu’à nous.

En effet, une civilisation évoluée pourrait maîtriser le voyage interstellaire, pour l'instant hors de notre portée ce qui pourrait s'avérer plus efficace que la communication radio. Certains scientifiques ont même tenté de mesurer le temps qu'il faudrait pour coloniser toute notre galaxie. Selon l'astrophysicien et essayiste américain Michael Hart, si une civilisation E. T. envoie des vaisseaux de colonisation vers les étoiles les plus proches à la vitesse de 0,1 c (10 % de la vitesse de la lumière, une vitesse hors de notre portée mais jugée raisonnablement atteignable par une civilisation plus évoluée), et si les colonies envoient ensuite elles-mêmes des vaisseaux d'exploration, elle devrait parvenir assez rapidement à coloniser l'ensemble de la galaxie. Si le temps entre les voyages est du même ordre que celui du trajet lui-même (pour se reposer…), le front d'onde de la colonisation se propagerait à 0,05 c et pourrait donc parcourir la totalité de la galaxie en 1 million d'années environ.

Un temps long pour notre espèce, mais très court à l'échelle de l'Univers. Si la colonisation est si rapide, comment expliquer le paradoxe de Fermi ? Certains scientifiques, comme Geoffrey Landis, chercheur à la Nasa, pensent que ce modèle n'est pas réaliste et qu'il faut prendre en compte la théorie mathématique de la percolation : la colonisation ne serait pas l'apanage de toute civilisation évoluée et, quand c'est le cas, elle avancerait par bonds successifs, dans certaines directions plus que dans d'autres.  "Je trouve ces travaux sur la notion de percolation intéressants : si une civilisation existe ailleurs, il doit y avoir une taille critique à partir de laquelle elle se développera ailleurs dans l'Univers, résume Franck Selsis.

Sinon, elle reste confinée sur sa planète ou à ses abords." Certaines parties de la galaxie pourraient ainsi être fortement colonisées et d'autres seraient délaissées. Notre solitude cosmique s'expliquerait par le fait que notre système solaire se situerait dans une banlieue pas très prisée de la Voie lactée, ou du moins pas encore visitée.

Cette hypothèse d’une colonisation difficile est d’ailleurs celle privilégiée par Frank Drake lui-même : « Selon moi, l’explication la plus crédible au paradoxe de Fermi est qu’il est beaucoup trop cher (et dangereux, je pense) d’envoyer des colons vers une autre étoile.

Voyager à plus de un dixième de la vitesse de la lumière est extrêmement dangereux. Des collisions avec de petites roches pourraient être catastrophiques… »

 

 

 

 

 

 

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8 mars 2021 1 08 /03 /mars /2021 01:02

Le jour où la Terre s'arrêta

Quand l'improbable surgit, tout peut être possible

Le début de l’ère du Verseau

 

 

Le Voyant Mario de Sabato « Le destin parallèle » 1987

La vie dans l’espace au XXIe siècle

« Depuis l’aube des temps, l’humanité a rêvé de conquérir l’espace. Elle est en mesure de réaliser ce rêve qui a longtemps paru une fantasmagorie insensée. L’homme a marché sur la Lune et il ira plus loin encore. Le chemin parcouru depuis le lancement du premier spoutnik est considérable. Les sondes spatiales ont rapporté des photos de Mars, de Vénus, de Pluton. La conquête de l’espace ne s’arrêtera pas là. Les Américains, après le choc causé par la catastrophe qui vit la destruction de Challenger et provoqua la mort de sept astronautes, ont ralenti leur programme spatial, mais ils le reprendront avec plus d’énergie et d’enthousiasme, et ils réussiront. Ils installeront les premiers des laboratoires spatiaux et des stations orbitales. C’est là que s’effectueront les découvertes impressionnantes du XXIe siècle qui seront déterminantes pour l’avenir de l’homme et changeront son destin.

« Il y a un destin pour l’homme dans l’espace, un destin qui le poussera à se détourner des luttes terrestres pour porter son attention vers la conquête des étoiles. Demain l’homme voudra connaître les possibilités que recèlent la galaxie et son au-delà. Il conjuguera ses efforts pour les découvrir et les exploiter.

« Les Etats-Unis réussiront les premiers dans ce domaine. L’espace et les étoiles tiennent au cœur du genre humain par son attirance pour le rêve, le merveilleux, le conte de fées. Plus cette tendance se développera, plus il sera à même de conquérir l’espace, d’y travailler, d’y recréer les conditions de vie qui lui sont nécessaires. Je ne parle pas des stations orbitales autour de la terre, mais de véritables stations spatiales installées sur le sol d’autres planètes plus lointaines. Ces véritables villes sur d’autres mondes ne seront pas simplement des centres d’observation scientifique mais aussi des centres de fabrication de produits nouveaux impossibles à réaliser aujourd’hui sur notre terre qui n’offre pas les conditions d’environnement requises.

« Dans l’espace, l’homme pourra mener à bien de nouveaux assemblages de molécules et de particules qui transformeront la médecine, la biologie. Ceux-ci permettront non seulement de guérir des maladies aujourd’hui incurables, de prévenir les fléaux encore inconnus qui peuvent nous frapper demain mais ils auront des résultats inimaginables pour nos cerveaux actuels. Certains de ces produits révolutionnaires développeront nos centres cérébraux inexploités, nous dotant de facultés que la parapsychologie a mises en lumière mais que personne, en dehors de quelques médiums, n’est parvenu à maîtriser. Ce sera un âge d’or scientifique tenant les promesses de l’ère du Verseau car le Verseau, c’est la science unie à la sagesse et à la paix. C’est l’ère qui rendra nos regards plus perçants, plus clairvoyants en les tournants vers l’au-delà, vers l’infini…

« C’est ainsi que sans l’avoir prévu les hommes iront à la rencontre de races extraterrestres, car elles existent. L’espace renferme des milliers d’autres galaxies où se sont développées des civilisations en avance sur la nôtre de plusieurs milliards d’années. Il est certain que le contact avec ces êtres, s’il n’est pas encore établi, le sera et le voyant que je suis peut prédire qu’en vérité ce sont eux qui viendront vers nous quand notre espèce se sera débarrassée de sa gangue de violence et de son goût du sang. Ils réussiront à effectuer les voyages intergalactiques, nous feront bénéficier de leurs connaissances scientifiques et nous parraineront à travers les étoiles.

« Ces extraterrestres lointains sont pacifiques. Depuis si longtemps ils ont rejeté la guerre qu’à notre échelle nous pouvons les considérer comme en paix depuis toujours. C’est ce qui leur a permis de progresser et d’élargir le champ de leur conscience. La supériorité intellectuelle et spirituelle qu’ils apporteront sur Terre dans un grand mariage entre eux et les Terriens provoquera non seulement un bond en avant de notre recherche scientifique sur terre, mais un bouleversement moral qui nous délivrera de l’angoisse et de la peur.

« Le XXIe siècle, témoin de notre rencontre avec les races intelligences de l’espace, sera celui du développement culturel et spirituel. Le XXIe siècle sera marqué par l’avènement des extraterrestres sur terre, l’évènement le plus extraordinaire de l’histoire humaine depuis la découverte du feu. A cet instant commencera pour les humains l’âge de l’espace.

« Ces intelligences supérieures maîtrisent parfaitement leur destin. Elles évoluent, choisissent le destin le meilleur à tout moment. Elles sauront aider les hommes à découvrir et à profiter du destin parallèle propre à chacun.

« Les grandes puissances réunies participeront à la conquête de l’espace : la Russie, la France, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, la Chine, l’Inde et le Japon. Les forces et les intelligences de notre terre s’uniront après le grand conflit mondial pour se tourner vers le destin des étoiles. C’est la voie royale qui s’ouvrira à l’homme du XXIe siècle, le destin qui attend l’humanité et qui la fera sortir enfin libérée de la prison que représente notre minuscule globe. »

 

 

 

Portrait du Major-Général John A. Samford

John Alexander Samford (29 août 1905 et mort en 1968) né à Hagerman au Nouveau-Mexique, Etats-Unis, est un lieutenant général de l’United States Air Force ayant été directeur de la National Security Agency (NSA) de 1956 à 1960.

John Samford sort diplômé de West Point en 1928 et rentre dans l’United States Army Air Corps. Durant la Seconde Guerre mondiale, il occupe le poste de chef d’état major du 8th Air Force de 1942 à 1944, avant de rentrer au Pentagone en tant qu’officier du renseignement.

John Samford dirige le renseignement de l’US Air Force de 1951 à 1956, date à laquelle il est nommé directeur de la NSA. Cette nomination a pu paraître étonnante étant donné que Samford était hostile à la création de la NSA, cependant, il est rapidement devenu un fervent soutien de l’agence, et a su faire preuve de diplomatie afin de développer et renforcer la NSA.

Déclaration du Major-Général John A. Samford sur les « Soucoupes volantes », Pentagone, Washington, DC, 31/07/1952

Le général John A. Samford, chef du renseignement de l’US Air Force, parle du sujet des « soucoupes volantes », affirmant qu’il est du devoir de la Force aérienne d’enquêter sur tout ce qui se trouve dans les airs, et qui pourrait constituer une menace pour les Etats-Unis d’Amérique. Ses conclusions sont que les 12.000 rapports reçus sont, pour la plupart, des canulars. Le reste des phénomènes non expliqués sont des aéronefs ou des phénomènes météorologiques et astronomiques. Il révèle qu’il existe un certain pourcentage d’observations crédibles, mais qu’il n’y a pas de modèle ou de mesure pour l’analyse. Ses conclusions sont qu’elles ne représentent aucune menace pour le pays. Il ajoute que les soucoupes volantes ne sont pas le résultat d’un développement secret réalisé par une agence américaine.

 

 

Portrait du Général Nathan F. Twining

Nathan Farragut Twining, né le 11 octobre 1897, mort le 29 mars 1982, est un général américain. Il a été chef d’état-major de l’US Air Force de 1953 à 1957, avant d’être le premier général de l’Air Force a être nommé Chef d’Etat-Major des armées de 1957 à 1960.

Twining est issu d’une grande lignée de militaire. Ses ancêtres servaient déjà dans l’armée de terre et la marine américaine depuis l’époque des guerres indiennes. Lorsqu’éclate la Première Guerre mondiale, il s’engage dans l’armée et rentre à West Point. Comme la formation est accélérée pour permettre de former plus d’officiers en vue de les envoyer au front, il n’y passe que deux ans, et obtient son diplôme en 1919. Il rejoint alors l’infanterie où il restera trois années, avant d’être transféré au service de l’air en 1922.

Après la Deuxième Guerre mondiale, il retourne aux Etats-Unis où il est nommé chef du matériel de l’air – Air Material Command – avant de prendre, en 1947, la direction de la région aérienne de l’Alaska : The Alaska Air Command.

Le projet Sign, d’étude des Ovnis, a été créé sous l’impulsion du général Nathan Twining, suite à une vague d’OVNI (appelées « soucoupes volantes ») en 1947 aux Etats-Unis, dont les deux plus célèbres cas sont l’observation de Kenneth Arnold en juin 1947 et l’incident de Roswell. Par ailleurs, Twining écrira dans un mémo secret de septembre 1947 : « Le phénomène rapporté est quelque chose de réel et non une vision ou un canular. »

La proposition du général Twining est approuvée par le gouvernement le 30 septembre 1947, et le projet Sign début le 22 janvier 1948, sur la base aérienne de Wright-Patterson, dans l’Ohio. Il est placé sous le commandement du capitaine Robert R. Sneider. Bien que le projet ait été classifié « d’accès restreint », son existence est connue du grand public, souvent sous le nom de « Projet Soucoupe ».

 

 

 

 

 

 

 

Une interview de Leslie Kean, la journaliste spécialiste des Ovnis, une vidéo en VOSTF.

Activez la fonction sous-titre de la vidéo Youtube.

 

 

Portrait de Joël Mesnard - LDLN

 

Joël Mesnard naît le 12 mai 1943. Il se passionne très tôt pour l’aviation. Professeur de mathématiques. Il enquête en mars 1958 sur l’affaire de Bouah-Mama (Algérie). Il quitte l’Education Nationale pour travailler dans la presse aéronautique à Aviation Magazine. En 1988, après trente années passées à faire vivre la revue, Raymond Veillith décide de prendre sa retraite. En septembre, Joël Mesnard, lui rachète « Lumières dans la Nuit » (qui est non pas une association à but non lucratif, mais une société commerciale, domiciliée à Chambon-sur-Lignon où résidait Veillith). Venu à l’ufologie en 1966 et ayant travaillé comme enquêteur pour le Groupe d’étude des phénomènes aériens ou GEPA, Joël Mesnard dirige la revue depuis Brétigny-sur-Orge dans l’Essonne puis à Saint-Julien-l’Ars dans la Vienne : nombre d’associations et d’auteurs ufologues (notamment Gildas Bourdais et Jean Sider) se chargent des écrits. Joël Mesnard écrit également quelques articles et ouvrages dans ce domaine. A partir du 1er octobre 2014, il cesse de s’occuper de LDLN. A travers ce petit article et ces quelques mots, je lui rends hommage pour sa passion, sa dévotion pour l’étude de l’inexpliqué, et en même temps, son opiniâtreté, sa patience et son abnégation pour l’étude des Ovnis car l’étude de ces phénomènes lui a pris beaucoup de temps de son existence, et ne l’a pas rendu ni riche ni célèbre. Il décède le 14 novembre 2022.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 janvier 2013 2 08 /01 /janvier /2013 17:41

 

Bonne et Heureuse Année 2013 !

Se préparer aux changements 2013-2033

 

 

Avènement

 

Voici dix ans que je parle de l’Apocalypse de 2012 (signifiant : la révélation où tout est dévoilé) et des nouvelles fréquences de plus en plus élevées venant de notre soleil, qui s’installent dans notre ambiance générale. Voici dix ans que je répète que sous cette douche luminique, notre ADN à 2 brins reconstitue progressivement ses dix brins manquants (lobotomisation remontant à 400.000 ans), que nous allons passer de la chimie du carbone à celle de la silice, tout cela nous donnant l’opportunité d’un fantastique bond en avant de notre conscience individuelle et collective, mais aussi de nos pouvoirs (créatifs) intérieurs. Oui, bien sûr… mais il convient d’ajouter, à trois conditions : celle de s’ouvrir mentalement à l’existence de ce flux céleste, de désirer sincèrement le recevoir, et de consentir à abandonner certains schémas culturels dépassés et fonctionnements routiniers étriqués ou égoïstes qui en bloquent le processus de réception.

Il me revient à ce titre une anecdote remontant aux années 60, où la télévision est passée du noir et blanc à la couleur. Un jour, la grand-mère de ma femme nous annonça toute heureuse que quelques jours après nous allions recevoir les programmes en couleur ; mais la pauvre femme n’avait pas compris qu’il fallait pour cela acheter un autre poste avec l’option « couleur ». Alors, je pose à chacun la question : avez-vous investi dans votre mode de vie et de pensées les clarifications indispensables pour pouvoir recevoir la couleur ? Vos actes quotidiens sont-ils en total accord avec votre conscience profonde ? Ne participez-vous pas par commodité ou par économie ou encore par irresponsabilité aveugle face à la séduction de la facilité, au malheur de populations entières, à des atrocités de grande envergure sur des millions d’animaux ou à des catastrophes écologiques fatales ?

 

Bonne Année 2013 Mr Hitchcock !

Et vive le Futur ou le Présent en devenir…

 

 

 

 

ovni-monnet2

 

Sachez que nous avons en chacun de nous un tribunal intérieur qui seul donne l’accès à des pouvoirs supérieurs. Il serait impensable et très dangereux que ceux qui ne veulent pas (encore) grandir ni sortir de leurs confortables prisons mentales au nom de sacro saintes traditions, soient soudain dotés de puissantes options créatives réservées à l’usage de l’homme cosmiquement évolué – et je pense hélas que c’est 85% des humains qui sont de cette veine. A moins d’une reprogrammation brutale comme on peut voir dans le film très drôle de Coline Serraut « La belle verte », la cohabitation entre cette majorité de retardataires et la minorité de « branchés sur l’ADSL Universel » qui est déjà difficile à supporter de la part de ces derniers dans le cadre des limitations actuelles, risquerait d’aboutir sur un scénario de magie infernale façon Harry Potter.

La planète Terre est l’un des multiples laboratoires d’expérimentation de l’Univers, en plus d’une école très dure dont la particularité est que l’on y a mélangé tous les niveaux d’évolution dans la même cour. Et que s’est-il passé ? Ce sont les arrogants et les violents fils de Bélial, qui ne respectent rien ni personne, qui ont confisqué les biens, la vie, et jusqu’à l’âme des gentils, et qui au nom de Dieu ont érigé des lois impitoyables pour se blanchir et se faire valider, cela depuis des millénaires. Actuellement, en raison des immenses progrès technologiques, cet état de fait a pris des formes plus complexes et insidieuses mais tout aussi cruelles. A l’échelon mondial, est-il besoin de nommer l’état voyou qui a mené depuis la guerre de 1939-1945, 51 guerres chaudes ou froides dans le monde au seul but de piller les richesses et installer un peu partout sa dictature ? 

 

rayon-ovni

 

Le problème d’être lucide et correctement informé réside dans la difficulté à ne pas cultiver le pessimisme (un pessimiste étant un optimiste qui a de l’expérience). Comment sortir de ce piège politico-religieux, où tous les mensonges sont permis pour avaliser l’énormité des crimes et forfaits ? Que faire quand tous ceux qui n’ont pas la tête dans le sable et de la purée dans les yeux, constatent qu’on nous envoie tout droit à la catastrophe sans que l’on ne puisse raisonnablement rien faire, seuls face à la léthargie sous hypnose médiatique d’une population assistée (les 85% cités).

Alors j’ai fini par penser que notre seul salut pouvait venir d’une intervention de l’extérieur par nos Amis d’en Haut – les extraterrestres – tels les Pléiadiens, Arcturiens, Vénusiens, Siriens (de Sirius) et bien d’autres parmi la cinquantaine de races de visiteurs de l’espace qui depuis des millénaires nous surveillent discrètement (d’ailleurs mentionnés dans les archives de toutes les civilisations antiques). Nous sommes nombreux à penser dans ce sens et à leur demander télépathiquement d’intervenir au mieux ; et je suis maintenant convaincu par mes propres observations, et au travers de personnes qui ont été physiquement contactées par ces grands êtres, voire emmenées dans leurs vaisseaux de l’espace, qu’ils interviennent de fait depuis des décennies pour limiter nos gravissimes dégâts. J’ai édité à ce sujet divers dossiers américains et russes déclassés (expiration à 30 ans) dans mon livre « Histoire extraordinaires d’outre-espace » Michel Dogna (éditions Guy Trédaniel), montrant entre autres comment des équipages E.T. sont intervenus aussitôt les explosions expérimentales des bombes atomiques pour rétablir les champs magnétiques vitaux de la Terre. A savoir, qu’entre les grands états détenteurs, 1000 bombes atomiques ont été testées dans l’atmosphère, dans le sol et dans la mer, sans compter tous les essais chinois inconnus ; sans ces interventions il n’y aurait plus aucune vie sur Terre actuellement. 

 

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Parmi les « contactés » tous rapportent à peu près la même chose des entretiens qu’ils ont eu avec les êtres de l’espace : « La planète Terre est une bibliothèque universelle de la vie et présente un indispensable équilibre avec les autres planètes du système solaire. Pas question de la laisser détruire ! » Le 28 mai 2012, j’annonçais sur mon site, en contre-information des mensonges rassurants de la presse mondiale concernant Fukushima, la situation catastrophique du Japon, l’héroïsme d’équipes sacrifiés devant un enfer indomptable qui risque de sauter à tout moment, ce qui obligera à évacuer immédiatement 40 millions de personnes de la zone de Tokyo. Or, curieusement pour l’instant, il semble y avoir beaucoup moins de dégâts de santé que prévu dans la population, et la mer environnante qui reçoit en permanence des millions de tonnes d’eau terriblement radioactive ne semble pas trop perturbée. Comment cela se fait-il ?

 

Voici un extrait de message récent de Matthew Ward (qui communique avec sa mère depuis son décès en août 2003) :

« Les reporters ignorent que les équipages extraterrestres atténuent les effets les plus néfastes des chemtrails, de même que la pollution nuisant à la santé provenant d’une variété d’autres sources. En ce qui concerne tous les discours sur une action militaire potentielle pour réduire la propagation des armes nucléaires, il n’est pas connu que, par respect envers la Terre, voulant que ses résidents cessent de s’entre-tuer, la Confédération Galactique a autorisé les équipages des vaisseaux spatiaux et ceux qui sont sur le terrain d’empêcher le fonctionnement de tout armement nucléaire. » 

 

 

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« La technologie qui permettait aux Illuminati de créer des tremblements de terre et d’intensifier les tempêtes (Haarp) a été « bloquée ou brouillée » par notre famille universelle, de sorte que la Mère Nature peut soigneusement libérer la négativité jusqu’à ce que toute cette force s’en soit allée, et bientôt ce sera fait. »

Mais concernant le 21 décembre 2012, je voudrais transmettre ici un extrait de l’étonnant rapport venant de Bill Wood, un ancien marin spécialisé dans le tir de missiles, qui parle de la fameuse base secrète 51 des USA, avec des entrainements dignes de la « guerre des étoiles ». Il parle lui aussi de vaisseaux spatiaux ainsi que d’habilités spéciales, au-delà des cinq sens, qui permettent de prédire le futur ainsi que d’analyser les différentes trames du temps. Aussi explique t-il que l’armée américaine utilise une technologie qu’il appelle « Looking Glass » qui lui permet de voir le futur dans ses différentes possibilités de trames de temps avec leur probabilité de se produire. Evidemment, ils cherchent à influencer le déroulement des événements pour que la trame de temps qu’ils préfèrent puisse se manifester. Wood affirme que cette technologie leur a montré que toutes les trames de temps convergent à la fin de décembre 2012. L’armée n’arrive pas à influencer les trames de temps après cette convergence. Quoiqu’ils fassent, la convergence se produit fin décembre 2012. Bill Wood confirme par ses travaux qu’il n’y a pas de possibilité d’influencer ou manipuler ce qui se passera après fin décembre 2012. 

 

ovni-monnet

 

Pour finir il conclut :

« C’est l’ascension et l’élévation fulgurante de la conscience de l’humanité. C’est la fin de ce monde de conspirateurs. Une partie de l’humanité va s’éveiller (ascension) comme un papillon qui sort de son cocon, et une autre partie va aller se cacher, apeurée, dans des bases souterraines ou survivre comme ils peuvent à la surface ». Selon lui, les méchants ont déjà perdu et les bons vont gagner assurément. Les deux camps le savent mais il reste quelques coups à jouer pour finir la partie, comme aux échecs.

Monique Mathieu qui depuis 2002 a transmis sur son site « ducielalaterre.org » plus de 700 rapports passionnants sur ses contacts avec des Grands Etres des Hiérarchies des Mondes Supérieurs, est a mon humble avis l’un des Channels actuels les plus fiables. Comme Matthew Ward, elle se situe à contre courant de la culture de la peur par le catastrophisme voire le fatalisme. Voici ce qu’elle dit dans son message du 13 juillet 2012 qui titre « Préparez-vous au meilleur » :

« Par moment, vous serez perturbés par les énergies et la vibration gigantesque qui vont de plus en plus pénétrer votre monde, que ce soient les énergies solaires, les vibrations émanant de toutes les sphères de votre système solaire ou les rayons de Lumière émanant de votre soleil central. Ils pourront générer en vous des perturbations, mais plus vous vous élèverez, plus vous aurez conscience de l’être qui émerge de vous-mêmes, moins vous serez perturbés par ces immenses changements. N’oubliez pas que tout doit transmuter et que vous êtes tous en mutation profonde, que ce soit au niveau de votre conscience, au niveau de la matière qui habille votre corps et au niveau de toutes vos cellules. Beaucoup de choses gigantesques s’approchent ; nous ne diront pas si elles seront difficiles ou heureuses ; préparez-vous tout simplement au meilleur, car nous savons que beaucoup d’êtres humains vivront des joies dont ils n’ont même pas conscience. Nous ne voulons parler de ce qu’il a de plus beau, de ce que vous aurez de plus beau à vivre. Le reste n’a aucune importance ! » 

 

Daniel Meurois « A la rencontre des Elohim »

   

 

 

ovnis

 

Dans son nouvel ouvrage : « Contacts extraterrestres pour l’Ere Nouvelle » Olivier de Rouvroy présente une jolie brochette de « contactés » les plus connus depuis un demi siècle avec le compte rendu de leur vie et de leur extraordinaire destin. Ils ont pour noms : George Adamski, Howard Menger, George Hunt Williamson, Orfeo Angelucci, Dino Kraspedon, Eugenio Siragusa, Pierre Monnet, Billy Meier, Jean Miguères, José Trigueirinho, Miriam Delicado, Jim Sparks, Alex Collier, Jean-Paul Appel-Guéry, Lou Daldin et Sheldan Nidle.

Leurs témoignages concordent tous et projettent un nouvel éclairage sur la grande opération que les membres dispersés de notre famille galactique mettent conjointement en place en ce moment-même afin de se manifester massivement sur la Terre et nous aider à y instaurer notre futur civilisation de l’Age d’Or.

En guise de conclusion, réalisez que quelque part au dessus de votre tête, de très nombreux Grands Vaisseaux de l’espace stationnent pour nous assister dans notre difficile « accouchement », et non nous attaquer comme va essayer de nous faire croire le « gouvernement de l’ombre ». Si l’on ne peut les voir, c’est qu’ils existent sur un champ de fréquence plus élevé que notre matrice matérielle (les gaz comme l’air ne se voient pas, bien qu’ils existent…). Mais je peux affirmer par mes multiples expériences personnelles et collectives qu’en se branchant mentalement sur ces Vaisseau de Lumière, de même que vous recevez la musique d’une radio quand vous accordez votre récepteur sur sa fréquence, vous serez rapidement envahis par la présence d’un merveilleux champ d’énergie très spécial qui vous donnera certainement l’envie de vous abonner chaque jour à ce contact.

Quoiqu’il arrive dans votre vie, ce contact régulier pourra être votre assurance Santé (ou aide à la guérison), votre assurance Evolution (pour faire toujours les bons choix), votre assurance Sécurité (pour ne jamais être où il ne faut pas).

Bonne traversée !

Michel Dogna  

 

Bientôt, le contact avec nos "Frères des étoiles" nous permettra de rentrer dans un Nouvel Age d'or de la civilisation... et dans la 4ème Dimension !

Surveillez bien vos écrans de télévision !

 

 

 

      

 

Visions du Futur

Le voyant Mario de Sabato « Le destin parallèle » (édition Stock) 1987 :

La vie dans l'espace au XXIe siècle

« Depuis l’aube des temps, l’humanité a rêvé de conquérir l’espace. Elle est en mesure de réaliser ce rêve qui a longtemps paru une fantasmagorie insensée. L’homme a marché sur la Lune et il ira plus loin encore. Le chemin parcouru depuis le lancement du premier spoutnik est considérable. Les sondes spatiales ont rapporté des photos de Mars, de Vénus, de Pluton. La conquête de l’espace ne s’arrêtera pas là. Les Américains, après le choc causé par la catastrophe qui vit la destruction de Challenger et provoqua la mort de sept astronautes, ont ralenti leur programme spatial, mais ils le reprendront avec plus d’énergie et d’enthousiasme, et ils réussiront. Ils installeront les premiers des laboratoires spatiaux et des stations orbitales. C’est là que s’effectueront les découvertes impressionnantes du XXIe siècle qui seront déterminantes pour l’avenir de l’homme et changeront son destin. 

 

Le souffle d'or

 

« Il y a un destin pour l’homme dans l’espace, un destin qui le poussera à se détourner des luttes terrestres pour porter son attention vers la conquête des étoiles. Demain l’homme voudra connaître les possibilités que recèlent la galaxie et son au-delà. Il conjuguera ses efforts pour les découvrir et les exploiter.

« Les Etats-Unis réussiront les premiers dans ce domaine. L’espace et les étoiles tiennent au cœur du genre humain par son attirance pour le rêve, le merveilleux, le conte de fées. Plus cette tendance se développera, plus il sera à même de conquérir l’espace, d’y travailler, d’y recréer les conditions de vie qui lui sont nécessaires. Je ne parle pas des stations orbitales autour de la terre, mais de véritables stations spatiales installées sur le sol d’autres planètes plus lointaines. Ces véritables villes sur d’autres mondes ne seront pas simplement des centres d’observation scientifique mais aussi des centres de fabrication de produits nouveaux impossibles à réaliser aujourd’hui sur notre terre qui n’offre pas les conditions d’environnement requises.

« Dans l’espace, l’homme pourra mener à bien de nouveaux assemblages de molécules et de particules qui transformeront la médecine, la biologie. Ceux-ci permettront non seulement de guérir des maladies aujourd’hui incurables, de prévenir les fléaux encore inconnus qui peuvent nous frapper demain mais ils auront des résultats inimaginables pour nos cerveaux actuels. Certains de ces produits révolutionnaires développeront nos centres cérébraux inexploités, nous dotant de facultés que la parapsychologie a mises en lumière mais que personne, en dehors de quelques médiums, n’est parvenu à maîtriser. Ce sera un âge d’or scientifique tenant les promesses de l’ère du Verseau car le Verseau, c’est la science unie à la sagesse et à la paix. C’est l’ère qui rendra nos regards plus perçants, plus clairvoyants en les tournants vers l’au-delà, vers l’infini…

« C’est ainsi que sans l’avoir prévu les hommes iront à la rencontre de races extraterrestres, car elles existent. L’espace renferme des milliers d’autres galaxies où se sont développées des civilisations en avance sur la nôtre de plusieurs milliards d’années. Il est certain que le contact avec ces êtres, s’il n’est pas encore établi, le sera et le voyant que je suis peut prédire qu’en vérité ce sont eux qui viendront vers nous quand notre espèce se sera débarrassée de sa gangue de violence et de son goût du sang. Ils réussiront à effectuer les voyages intergalactiques, nous feront bénéficier de leurs connaissances scientifiques et nous parraineront à travers les étoiles. 

 

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« Ces extraterrestres lointains sont pacifiques. Depuis si longtemps ils ont rejeté la guerre qu’à notre échelle nous pouvons les considérer comme en paix depuis toujours. C’est ce qui leur a permis de progresser et d’élargir le champ de leur conscience. La supériorité intellectuelle et spirituelle qu’ils apporteront sur Terre dans un grand mariage entre eux et les Terriens provoquera non seulement un bond en avant de notre recherche scientifique sur terre, mais un bouleversement moral qui nous délivrera de l’angoisse et de la peur.

« Le XXIe siècle, témoin de notre rencontre avec les races intelligences de l’espace, sera celui du développement culturel et spirituel. Le XXIe siècle sera marqué par l’avènement des extraterrestres sur terre, l’évènement le plus extraordinaire de l’histoire humaine depuis la découverte du feu. A cet instant commencera pour les humains l’âge de l’espace.

« Ces intelligences supérieures maîtrisent parfaitement leur destin. Elles évoluent, choisissent le destin le meilleur à tout moment. Elles sauront aider les hommes à découvrir et à profiter du destin parallèle propre à chacun.

« Les grandes puissances réunies participeront à la conquête de l’espace : la Russie, la France, la Grande-Bretagne, les Etats-Unis, la Chine, l’Inde et le Japon. Les forces et les intelligences de notre terre s’uniront après le grand conflit mondial pour se tourner vers le destin des étoiles. C’est la voie royale qui s’ouvrira à l’homme du XXIe siècle, le destin qui attend l’humanité et qui la fera sortir enfin libérée de la prison que représente notre minuscule globe. »    

 

 

 

Amour et spiritualité

« J’en viens au couple idéal pour qui la spiritualité constituera le ciment sur lequel sera fondé son amour. Je ne connais pas de grand amour vécu sans spiritualité. Elle fait échec aux excès dévastateurs, à la violence, à la jalousie, à l’envie, au mensonge, aux tromperies. Plus intense est la spiritualité, plus solide sera le couple.

« Quand j’évoque la spiritualité, je ne parle pas de la foi religieuse. Je ne veux pas dire qu’il faille absolument appartenir à une église, être chrétien, musulman ou bouddhiste. Je parle de la vie intérieure, de celles que peuvent connaître les hommes et les femmes sans partager la même foi et même en dehors de toute religion.

« S’il est aisé de rencontrer un homme ou une femme qui inspire le désir, il est plus difficile de trouver celui ou celle avec qui on a envie de partager sa vie intérieure. De telles rencontres, peu fréquentes, permettent de connaître un destin amoureux exceptionnel. La vie intérieure, la spiritualité, c’est aussi la médiumnité. Quand il y a vie intérieure alliée à un grand amour fort et réciproque, cela crée un lieu privilégié où se meut le couple et qui éclaire la vie de tous ceux qui se trouvent à un moment ou à un autre dans l’entourage de ces êtres privilégiés. D’eux émane une aura spirituelle et qui les fréquente se sent enrichi. Leur amour rayonne et il n’est jusqu’à l’harmonie qui se dégage de leur démarche qui fasse se retourner sur leur passage ceux qui les croisent. Ainsi devait être l’atmosphère qui entourait Tristan et Iseult, Roméo et Juliette, Philémon et Baucis.

« De tels couples sont rares car exceptionnels sont les êtres doués d’une grande spiritualité. Il faut reconnaître qu’il leur est difficile de trouver le compagnon idéal. Ce fut le cas des grands saints de l’Eglise catholique. Sainte Claire et Saint François d’Assise, comme sainte Thérèse d’Avila et saint Jean de la Croix, par exemple, doués d’une spiritualité et de prescience, ont renoncé à chercher l’amour humain. Ils ont préféré se tourner vers le sur-amour divin. Ils sentaient que la vie spirituelle seule ne suffit pas à fonder un couple. Il faut que s’exaltent aussi l’amour, le désir, la sexualité. La sexualité ne peut être séparée de la spiritualité quand se forme l’union de deux êtres qui aspirent à une vie intérieure. Ce couple-là connaîtra une vie d’amour comme tous les autres mais d’un amour renforcé par l’intensité de la vie spirituelle partagée. L’ensemble de ces valeurs rend ce type de couple indestructible.

« Je décris là le couple parfait, le plus harmonieux, l’union idéale, celle que nous tous voudrions vivre. Malheureusement l’ère des Poissons interdisait à l’humanité de voir un grand nombre de hautes spiritualités. Voilà pourquoi ces couples-là sont rarissimes. L’ère du Verseau les verra se multiplier. Nos enfants connaîtront cet épanouissement amoureux. C’est là qu’est l’avenir de l’homme, même si nous devons compter avec le Bien et le Mal qui se partagent nos âmes.

« J’ai eu la chance de rencontrer, lors de mes consultations, de ces êtres en avance sur leur temps qui ont une vie intérieure profonde, beaucoup d’amour à donner et qui cherchent leur media naranja, leur « moitié d’orange », comme disent de façon imagée les Espagnols. Il leur est très difficile de réussir ce miracle de l’amour idéal mais quand cela se produit je suis ému d’en être le témoin.

« Mieux vaut pour un être doué de spiritualité tenter l’expérience de l’amour sans lien officiel afin de discerner clairement quelles sont les chances de réussite du couple une fois marié.

« Il arrive que les amants se soient rencontrés et aimés dans une vie antérieure. Il leur semble se connaître alors qu’ils ne s’étaient jamais vus. Des phrases, des mots se répètent tout à coup, dont ils ont le sentiment qu’ils ont déjà été prononcés. Ils se retrouvent dans des situations qu’ils ont l’impression d’avoir connues. Ce sentiment de déjà vécu est la preuve d’une expérience antérieure. Ces deux êtres vont s’aimer très fort spirituellement et charnellement. Ils seront capables de mener une vie commune heureuse. C’est très beau, mais ces rencontres sont exceptionnelles. Quand elles se produisent, il est important que le couple se reconnaisse comme deux amis très chers après une longue séparation. Ce sont de véritables retrouvailles à travers l’espace et le temps.

« Il n’est pas rare qu’avant de retrouver celui ou celle déjà aimé dans une vie antérieure, l’homme ou la femme qui ont une vie spirituelle supérieure aient connu l’échec. Mais s’ils persévèrent dans leur recherche, ils finissent par rencontrer le grand amour.

« La question des retrouvailles après une vie antérieure commune ne se pose pas uniquement par rapport à un amant ou à une maîtresse. On peut tout aussi bien retrouver un frère, une sœur, un père ou une mère, un associé avec lequel on bâtissait une œuvre. Les retrouvailles n’ont pas seulement lieu entre des êtres amoureux mais aussi entre ceux qui ont partagé des situations affectives, accompli ensemble des choses importantes pour l’humanité. Ils ont à nouveau la possibilité de continuer ce qui avait été interrompu par la fatalité dans une précédente existence.

« C’est vers ce type de perfection spirituelle et amoureuse absolue qu’évoluera le XXIe siècle pendant l’ère du Verseau. Je puise un grand réconfort quand je contemple ainsi l’avenir du monde, quand je le compare aux dernières convulsions du destin mondial (la Troisième Guerre Mondiale ?!), qu’il nous faudra malheureusement subir avant de changer d’ère.

« C’est à partir de l’an 2000 que tout se modifiera radicalement quand triomphera la spiritualité dans les domaines sociaux, émotionnels et amoureux. Les êtres humains ne seront plus jamais les mêmes. Ce ne seront plus les gens cruels que nous avons connus pendant l’ère des Poissons. La cruauté n’est pas seulement sociale mais aussi personnelle. On parle facilement de la barbarie des guerres et des révolutions, on oublie celle de l’être humain. Cruauté des volets clos, celle dont on ne veut pas avoir à connaître, celle qui fait de la vie un enfer en réduction, car cela existe. Je connais des exemples de persécution à l’intérieur d’un couple ou d’une famille. Certains se terminent en apocalypse et surgit le crime. Le père tue le fils, le fils tue son père, ces meurtres sont le résultat de la cruauté quotidienne, le haut de l’iceberg. Et le phénomène se reproduit depuis quatre mille ans !

« Pour moi, ces gens qui se rencontrent en ce moment, qui s’unissent avec amour et spiritualité, ceux-là reflètent ce que nous seront en l’an 2000. (Ou 2033 ?!)

« Quand viendra l’ère du Verseau, la planète entière évoluera et ce sera prodigieux. Ce changement d’ère, aujourd’hui progressif encore, s’opérera spontanément. Au XXIe siècle, les êtres se révéleront meilleurs, sans même savoir pourquoi le plus souvent. Ceux qui naîtront alors créeront un monde nouveau. Emplis d’amour et de spiritualité, ils triompheront des problèmes que la terre et les hommes subissent encore. »

Choc de civilisations ou Troisième Guerre Mondiale ?

L'émergence d'un nouveau modèle de société

Dans un autre registre, le célèbre voyant Mario de Sabato annonce des turbulences politico-économiques d’envergures comme l’affrontement entre blocs de civilisations. En somme, deux thèses s’affrontent, ceux de géo-politologues « avisés », celles de Francis Fukuyama prônant la paix universelle, la croissance et l’abondance, et celle de Samuel Huntington annonçant l’affrontement entre civilisations car les guerres identitaires (ethnoculturelles) correspondent à des clivages plus anciens que les guerres entre états et blocs idéologiques (capitalisme/communisme).

Samuel Huntington recense huit grandes civilisations à la surface du globe : occidentale (Europe de l’ouest et du centre et Amérique du Nord), confucéenne, japonaise, islamique, indoue, slave-orthodoxe, latino-américaine et africaine. Ces conflits, dit-il, sont ceux de l’identité profonde des individus, beaucoup plus fondamentaux, donc, que les guerres idéologiques qui ont marqué notre XXe siècle. De plus, souligne Huntington, « la culture suit le pouvoir », autrement dit les plus forts imposeront leurs valeurs aussi loin qu’ils parviendront à s’étendre géographiquement.

Contrairement à Fukuyama, Huntington pense que notre modèle occidental ne séduit pas forcément le reste de la planète. Si les autres civilisations sont elles aussi engagées dans la voie de la modernisation, elles n’ont pas pour autant envie de prendre le même chemin que nous. Beaucoup plus « religieuses » que la nôtre, ces sociétés voient au contraire l’Occident matérialiste et laïque comme un repoussoir. L’Occident, dit Huntington, présente la liberté, la démocratie et la laïcité comme des valeurs universelles, alors qu’elles sont, en réalité, le fruit de sa propre histoire.

La conclusion de Samuel Huntington est donc autrement plus pessimiste : la guerre entre blocs de civilisation a déjà commencé, dit-il, programmant à terme le déclin de l’Occident, rongé de l’intérieur par le multiculturalisme. L’universalisme planétaire par la mondialisation de l’économie est un leurre, affirme-t-il, car le commerce mondial s’effectue à l’intérieur de zones de libre-échange qui correspondent le plus souvent à des aires de civilisation.

Alors ? Alors le cœur nous porte vers Fukuyama bien sûr, et la raison vers Huntington. Reste à tenter de conjuguer les deux, à tenter d’infléchir le destin, notre destin, car il y a toujours deux voies : une voie de fatalité et une voie de libre arbitre. Et ce qui est vrai pour les individus l’est aussi pour les peuples. N’y aurait-il donc pas un moyen terme, une solution qui permette d’aller vers cette paix universelle que nous appelons tous de nos vœux sans pour cela renoncer à nos différences ?

« Le XXIe siècle sera spirituel ou ne sera pas » par cette phrase, André Malraux, a voulu dire que si nous ne prenons pas conscience des valeurs spirituelles de notre temps, alors le XXIe siècle sera catastrophique et mortel pour l’humanité. Donc fatal. C’est pour cela qu’il y aura une prise de conscience des gens qui croient, qui sont animés d’une foi en la transcendance et qui feront en sorte que ce troisième millénaire se déroule dans les meilleures conditions possibles.

Mario de Sabato ajoute qu’à partir du XXIe siècle, les gens qui prendront conscience des valeurs spirituelles et représentatives de l’homme sont ceux qui dirigeront le monde. C’est, en quelque sorte, la fin du monde politique tel que nous l’avons connu et le connaissons encore. Les responsables de l’humanité de demain seront les savants, les scientifiques, les philosophes, les « sages » ; ceux qui ont une âme totalement désintéressée et qui apporteront à l’humanité, à travers la gestion des différents pays, des valeurs nouvelles pour la construction des nations.

C’est aussi du Canada que partiront les plus grands courants spirituels du XXIe siècle. C’est de là qu’essaimeront ceux qui vont prophétiser le monde. Ils n’appartiennent pas à une secte, non, ce sont des gens ordinaires comme vous, comme moi, appartenant aux grandes religions déjà existantes (chrétienté, islam, judaïsme) et qui auront le désir de propager une foi œcuménique dans le cœur des hommes.

 

"Demain, va se lever une aurore nouvelle. Dans un ciel dégagé des terreurs des Poissons. Le Verseau répandra sa douceur fraternelle et les hommes enfin se verront tels qu'ils sont !" Mario de Sabato

La société et le monde évoluera vers plus de fraternité, de justice, de solidarité et de spiritualité et se sera prodigieux. Les sytèmes politiques et économiques actuels devront évoluer en conséquence ou disparaître, les religions sont également concernées.

Qui sont réellement nos "Envahisseurs" ?...

Demain arrivera assez tôt... 

 

 

Que sera la vie dans notre monde vers l’horizon 2030-2050 ? D’ici là, il y aura eu beaucoup de bouleversements. Dans le monde entier les hommes politiques seront tous remplacés par des savants. La politique telle que nous la connaissons aura vécu. Il n’y aura plus aucun homme politique en place dans aucun pays du monde, parce que l’évolution de la personne sera telle qu’on ne se laissera plus guider par quelqu’un qui a un idéal politique mais par quelqu’un qui a un idéal humaniste. Les partis politiques n’existeront plus.

Adieu les clivages et les rivalités politiques que nous avons connus jusqu’à maintenant… Messieurs les politiques, vous êtes désormais des « reliques » de l’histoire, des « dinosaures », sans le savoir vous appartenez déjà au passé, ce n'est plus qu'une question de temps, quelque part à l'échelle du Temps tout est déjà "réalisé", "accompli"...

Tout ceci est, sans doute pour certains, du Rêve, de la pure Utopie. Mais qui est réellement utopique ? Les Daniel Meurois, les Mario de Sabato et personnes de même acabits connues ou moins connues qui prônent une nouvelle vision de la vie, de l'homme, de la société et du monde ou les idéologues de doctrines "moribondes" et "mortifères" qui ont jalonnés tristement l'histoire jusqu'à nos jours et qui prétendent "régir" nos vies dans nos "intérêts" ou plutôt le "leurs"  ?! Et qui appartiennent désormais au passé...

Dans tous les pays, il y aura des collèges qui se réuniront pour élire un sage, un philosophe, un chercheur, un savant, et ce sera lui – ou elle – le chef de l’Etat. En attendant que le monde politique disparaisse, Mario de Sabato nous annonce une femme à l’Elysée pour le début du XXIe siècle. Tout comme il y aura aussi, en France, un Premier ministre de confession musulmane et aux Etats-Unis un Président Noir à la Maison-Blanche ; de même, il y aura un Pape Noir au Vatican. (Prédictions datées de 1999).

Mais en 2037 ? En 2037, il n’y aura plus de pape, plus de Président de la République en France, plus de Président des Etats-Unis. Dans tous les pays du monde il en sera ainsi, ce sera la plus grande révolution. A ce moment-là, les Nations Unies auront été transformées. D’abord, l’organisme aura changé de nom. C’est un très grand nettoyage qui va se faire dans les années qui viennent, il faut en passer par là.

Qu’est-ce qui est vraiment utopique ? Le fait de naître, de vivre et d’exister par le seul fruit du hasard dans un monde et dans un univers qui n’a aucun sens ou d’être l’expression d’une force, d’un mystère qui fait naître en nous le plus beau des soleils… celui qui nous relie à notre propre cœur et au Cœur de tous les cœurs… source de lumière et de tellement de joie… et qui est l’expression de l’Amour, de l’Absolu, ici, maintenant, pour toujours et à tout jamais…

Ainsi, je vous adresse tous mes Vœux pour la Nouvelle Année 2013 et pour les changements qui s’en viennent… Car, vous êtes, nous sommes, le Monde, l'Univers, le Passé, le Présent, le Futur, l'Eternité, la Vie, la Joie, la Conscience, l’Amour !!!

C’est ma plus belle Carte de Vœux que j’ai réalisé jusqu’à maintenant ! 

 

 

Master Universe by ANTIFAN REAL

 

  

 

 

 

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26 février 2010 5 26 /02 /février /2010 17:16

Ovnis la fin du tabou

 

Tournant capital dans l’étude des ovnis : des scientifiques de toutes disciplines ont récemment admis qu’il n’était pas illégitime de les examiner sans a priori. La quête des civilisations extraterrestres prend dès lors une nouvelle ampleur, et on cherche même à les dénombrer.

 

 landcash

 

 

Il y a moins de quatre ans, les astronomes ignoraient s’il existait des planètes en orbite autour d’étoiles comme le Soleil. Aujourd’hui, treize planètes extérieures au système solaire ont été détectées autour d’étoiles, distantes de moins de 150 années-lumière. Leur découverte constitue la première vraie piste pour chercher la vie ailleurs. Car un fait est désormais établi : une proportion non négligeable d’étoiles possèdent des planètes, c’est-à-dire les seuls astres dont on sait avec certitude qu’ils sont capables d’abriter la vie. Si l’on considère que la Voie lactée, notre galaxie, contient environ 200 millions d’étoiles et qu’il y a dans le cosmos autant de galaxies que de grains de sable sur une planète, la question vaut que l’on s’y arrête. Déjà, les astronomes imaginent les instruments qui, demain, leur permettront de trouver d’autres planètes.

 

Si la vie existe ailleurs, rien n’interdit d’imaginer qu’elle soit évoluée et intelligente. C’est l’un des postulats du programme SETI (Search for extra-terrestrial intelligence, recherche d’intelligence extraterrestre). A l’aide de puissants radiotélescopes, des astronomes auscultent méthodiquement des milliers d’étoiles afin de vérifier si une émission peut être attribuée à une civilisation technologiquement avancée.

 

Est-il déraisonnable d’envisager que, parmi ces éventuelles civilisations, certaines aient atteint un stade d’évolution technique bien supérieur au nôtre ? Au point d’être à même de nous rendre visite ? A l’extrême limite du raisonnement, si un tel fait est possible, ne s’est-il pas déjà produit ? Et, en observant des phénomènes qualifiés d’ovnis, certaines personnes n’auraient-elles pas assisté à l’arrivée d’êtres venus d’ailleurs ?

 

Un observateur privilégié

 

Pour Jean-Jacques Vélasco, chef du Service d’expertise des phénomènes de rentrée atmosphérique (SEPRA) au Centre national d’études spatiales (CNES), l’idée n’a rien de saugrenu : « Aujourd’hui, la connexion scientifique entre la vie extraterrestre et les ovnis ne peut être établie. Mais l’hypothèse ne saurait être rejetée. » Occupant depuis des années un poste d’observation privilégié des phénomènes ovnis qui ont eu lieu au-dessus du territoire français, Jean-Jacques Vélasco a mené de nombreuses enquêtes sur des cas de toute nature, dont la majorité est plus ou moins vite élucidée.

 

Cependant, environ 40 % des observations communiquées au SEPRA n’ont pu être identifiées. « La plupart des descriptions s’insèrent dans les lois de la perception. Les témoins observent des objets de forme discoïdale, qui se déplacent sans bruit selon des trajectoires bizarres, avec parfois d’autres caractéristiques étonnantes. Ce sont des phénomènes physiques, puisque, dans certaines circonstances, des capteurs – le plus souvent des radars – les enregistrent. » Les quelques occasions où les observations des témoins ont pu être recoupées par des observations d’instruments prouvent la matérialité physique des phénomènes.

 

 

 pocantico

 

 

Le sujet mérite donc d’être étudié scientifique. C’est la conclusion d’une assemblée de scientifiques de diverses disciplines et de diverses nationalités réunis en colloque à Pocantico (Etat de New York, Etats-Unis), du 29 septembre au 4 octobre 1997, à l’initiative de la fondation Rockefeller. Sous la direction de Peter Sturrock, professeur de physique appliquée à l’université Stanford (Palo Alto, Californie), ces chercheurs ont examiné quelques-uns des cas les plus troublants.

 

Cinquante ans après la première observation de « soucoupes volantes » par l’Américain Kenneth Arnold, ils ont estimé que les informations sur les ovnis méritaient d’être examinées avec objectivité, de manière à peser toutes les hypothèses. Cette conclusion marque un tournant. Car l’étude des ovnis a toujours été perturbée par des discours subjectifs dont le seul but était de démontrer telle ou telle doctrine. Pendant de longues années ont fleuri des associations ufologiques défendant diverses thèses. Du « complot universel » au « ils sont parmi nous », en passant par l’émergence de sectes, sans oublier les efforts de désinformation des armées, ces phénomènes étaient entourés de passion. Aujourd’hui, le discours a gagné en sérénité.

 

Il est bien tôt pour dire si le colloque de Pocantico débouchera sur la mise en œuvre de recherches. Mais il reflète peut-être cette évolution. Si les participants ont pris soin de noter qu’ils n’étaient pas convaincus de l’implication d’intelligences extraterrestres, cette hypothèse n’a pas été balayée d’un revers de main.

 

Voyages sans retour

 

En 1990, les astronomes français Jean-Claude Ribes et Guy Monnet avaient poussé cette idée jusqu’au bout. Etait-elle vraiment envisageable ? En ne quittant pas le cadre de la physique connue, un problème de taille s’opposait d’emblée à la venue de vaisseaux spatiaux extraterrestres au voisinage de la Terre : les distances entre les étoiles. Si l’on admet que la vitesse de la lumière (environ 300.000 km/s) ne peut être dépassée, le voyage à partir d’une étoile proche prendrait des siècles.

 

 

 ovni en attente

 

 

« Nous nous sommes donc demandés ce que nous, Terriens, ferions si nous voulions aller vers les étoiles, dit Jean-Claude Ribes. A condition de disposer d’un moyen de locomotion assez rapide, des humains pourraient s’embarquer dans des vaisseaux pour des voyages si longs qu’ils seraient sans retour. Après tout, cela s’est déjà produit : c’est à la suite de voyages sans retour que l’ensemble de la Terre a été colonisé par l’être humain. Or, si nous sommes capables, dans quelques siècles, d’aller vers les étoiles, pourquoi d’autres n’auraient-ils pu le faire ? »

 

Cette hypothèse envisage donc la discrète présence, quelque part dans le système solaire, d’extraterrestres dont les incursions sur la Terre prendraient parfois la forme d’ovnis. Pour Jean-Claude Ribes, ces visiteurs pourraient avoir élu domicile dans la ceinture d’astéroïdes et choisi de ne pas venir s’ingérer dans les affaires terriennes : « Attention, je ne dis pas que c’est le cas ! Simplement, c’est une hypothèse qui, dans le cadre de la science, pourrait expliquer la nature extraterrestre de certains ovnis. »

 

Les astronomes possèdent-ils les moyens de le vérifier ? « Cela a été tenté aux Etats-Unis, dit Jean-Claude Ribes. Des crédits avaient été octroyés à l’astronome Mike Papagiannis pour qu’il cherche dans les données du satellite IRAS, des sources aux alentours de 25° C – température compatible avec la vie -, trahissant une présence extraterrestre. Mais, faut de crédits, il a abandonné ses travaux au bout de quelques mois. »

 

Signal radio extraterrestre

 

Aujourd’hui, d’autres recherches pourraient sans doute être menées par des observations en radio où même en optique. Quoi qu’il en soit, rien ne permet de dire à l’heure actuelle que les ovnis ont un lien avec des extraterrestres. Et, si l’approche de Jean-Claude Ribes et Guy Monnet peut indiquer les directions à suivre, elle ne présume pas la probabilité d’une vie intelligente ailleurs dans l’Univers.

 

En avril 1960, l’astronome américain Franck Drake tenta, pour la première fois, de capter un signal radio extraterrestre. Disposant d’une antenne parabolique de 25 m de diamètre à Green Bank (Virginie Occidentale), il avait calculé que celle-ci était assez sensible pour détecter une émission artificielle dans un rayon de 10 années-lumière autour du Soleil. Dans cette sphère se trouvaient deux étoiles de type spectral proches du Soleil : Tau Ceti et Epsilon Eridani. Il pointa sans succès l’antenne dans leur direction.

 

 

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Mais, contrairement aux autres, cette tentative déboucha sur une réflexion. L’année suivante, Drake se demanda quelles incertitudes il faudrait lever pour évaluer le nombre de civilisations extraterrestres existant dans la Galaxie. A quels facteurs tenaient l’apparition de la vie et son développement jusqu’à un stade technologique ? Il rédigea le fruit de ses réflexions sous la forme d’une équation devenue célèbre par la suite, dont le résultat N, est le nombre probable de civilisations extraterrestres.

 

Cet essai prenait en compte les paramètres de divers domaines scientifiques tels que l’astronomie, la chimie organique, la biologie, mais aussi ceux de l’histoire, de la politique et de la psychologie. Franck Drake aboutissait à un résultat pessimiste : N = 10 pour la Galaxie. En fait, hormis le premier facteur de son équation (le nombre d’étoiles de la galaxie), tous les autres peuvent avoir n’importe quelle valeur, et l’équation peut déboucher sur toutes les solutions entre (puisque la Terre et l’humanité existe) et des centaines de millions.

 

L’un des moyens de préciser le nombre de civilisations techniquement avancées de la Galaxie consiste à écouter, à l’aide de puissants radiotélescopes, le plus grand nombre d’étoiles possible. C’est le programme SETI lancé en 1992, grâce aux fonds de la NASA. L’année suivante, une chute vertigineuse des crédits contraignit les astronomes à trouver des financements privés. Aujourd’hui, le programme se poursuit.

 

« L’équation de Drake est une bonne base », disait il y a un an l’astronome Jean Heidmann, impliqué dans SETI à l’observatoire de Paris-Meudon. « Bien sûr, les chances de découvrir quelque chose sont extrêmement minimes : il faudrait tomber sur la bonne étoile au bon moment et écouter sur le bon canal. Mais l’expérience doit se poursuivre au cours du XXIe siècle, car si dans un laps de temps de quelques années nous trouvons un seul signal, statistiquement, cela signifiera que nous en trouverons d’autres par la suite. »

 

 

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Actuellement SETI se poursuit selon deux modes : par des campagnes qui monopolisent quelques radiotélescopes à plein temps pendant plusieurs jours, et par des écoutes en parallèle au cours des observations d’autres radioastronomes. En accumulant les heures d’écoute, les défenseurs du projet espèrent détecter un jour une émission artificielle, volontaire ou non.

 

Selon le même principe, d’autres émissions peuvent être traquées. « Les Russes ont tenté de trouver des flashes optiques issus de lasers très puissants, dit Jean Heidmann. Cela pourrait être un mode de communication entre étoile et planètes. En dix-huit ans d’observation à l’aide de leur télescope de 6 m, ils ont suivi deux cents objets, hélas ! Sans résultat. » Il est vrai qu’en cas d’émissions par laser il faudrait se trouver dans la ligne de visée du flash pour l’apercevoir.

 

Après 1995, et la confirmation que des planètes gravitent autour de certaines étoiles, les radiotélescopes de SETI ont écouté des cibles plus privilégiées : les étoiles à planètes. « Nous avons visé 51 Pegasi et 47 Ursae Majoris, dit François Biraud, mais toujours sans succès. » Certains astronomes sont franchement hostiles à SETI. D’autres sont simplement sceptiques sur les chances de succès de l’entreprise, comme Jean Schneider (Observatoire de Paris-Meudon), pour qui « SETI ressemble à de la pêche à la ligne. On peut ne rien trouver pendant des milliers d’années ».

 

Pour Philippe Zarka, radioastronome à Paris-Meudon non impliqué dans SETI, « en Europe cela ne coûte rien et cela ne fait de mal à personne. D’autant que les récepteurs de SETI se branchent en parallèle et ne prennent pas de temps aux autres recherches. L’idée n’est pas stupide. De plus, elle comprend une part de ce rêve que manque parfois aux scientifiques ». En attendant que l’hypothèse extraterrestre des ovnis soit explorée et que les récepteurs de SETI frémissent d’un message intelligent, que reste-t-il aux chasseurs de vie dans l’Univers ? Ils peuvent tenter de réduire l’incertitude qui plane sur chacun des termes de l’équation de Drake. Cette tâche a déjà commencé avec les recherches de planètes extrasolaires.

 

 

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« Pour l’instant, nous évaluons à 5 % le nombre d’étoiles de type spectral voisin du Soleil qui ont des planètes géantes, dit Jean Schneider. Mais nous n’avons toujours aucune idée de la proportion de planètes telluriques. De plus, ce pourcentage n’est valable que dans un rayon de 50 parsecs autour du Soleil. Reste-t-il exact au centre de la Galaxie ou dans les autres bras spiraux ? Nous n’en savons rien. Mais, même dans le cas le moins favorable, il y a tant d’étoiles qu’il s’en trouvera toujours au moins un milliard pour posséder des planètes de type jovien. »

 

Tout en poursuivant ses recherches, Michel Mayor, l’astronome suisse qui a découvert la première planète extrasolaire autour de 51 Pegasi, par variation de la vitesse radiale de l’étoile, essai de comprendre les caractéristiques des systèmes planétaires connus. « Jusqu’à présent, dit-il, la moitié des planètes que nous avons découvertes sont étonnamment proches de leur étoile. » Cela signifie que ces géantes, qui, selon les modèles, n’ont pu se former qu’à une grande distance de leur étoile, ont migré, vraisemblablement à cause d’une interaction avec le disque de poussières dans lequel elles traçaient leur orbite.

 

Pour l’Américain Geoffrey Marcy, autre découvreur de planètes, « ce pourrait être le premier signe que les planètes comme la Terre sont rares et que, par conséquent, la vie l’est aussi ». Lors du phénomène de migration des planètes géantes vers leur étoile, les planètes rocheuses comme la Terre ou Mars, vraisemblablement formées à l’intérieur de leur orbite, seraient détruites.

 

Plus de métal que sur le Soleil

 

D’autant que, selon Michel Mayor, l’analyse du spectre de ces étoiles pourrait confirmer l’hypothèse : « Nous remarquons que les étoiles accompagnées de planètes massives de courte période ont une métallicité importante, de l’ordre de deux à quatre fois celle du Soleil. Deux hypothèses semblent se dessiner. La première est que ce genre d’étoile naît de nébuleuses riches en métaux qui, selon les modèles, favorisent très vite la formation de planètes géantes. La seconde consiste à dire que la metallicité de l’étoile est due au fait qu’au cours de la migration des géantes les petites planètes rocheuses, envoyées sur des orbites instables, sont absorbées par l’étoile. Leur matière, certes infime, se serait étalée sur la surface de l’étoile, ce qui « falsifierait » la composition que nous voyons, par un excès de métallicité. »

 

 

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Si cette piste se confirmait, elle réduirait les chances de découvrir – quand les moyens techniques le permettront – des planètes de type terrestre. « Pourtant, ajoute Michel Mayor, on ne peut exclure qu’il se forme des planètes rocheuses au-delà des géantes, une fois leur migration terminée. » Le prochain objectif des astronomes sera donc d’établir s’il existe des planètes qui ressemblent à la Terre. « En 2002, quand le satellite COROT sera lancé, il pourra détecter les occultations de 30.000 étoiles par des planètes telluriques d’un diamètre de l’ordre de deux fois celui de la Terre, annonce Jean Schneider.

 

Mais, déjà, l’espoir réside dans les grands interféromètres spatiaux du siècle prochain. Grâce au projet européen Infrared space interferometer, les astronomes pourront observer trois cents étoiles proches et y déceler des planètes de la taille de la Terre. Ils auront même la possibilité d’établir le spectre des planètes découvertes, ce qui les renseignera sur la température de surface, sur la présence ou l’absence d’une atmosphère et sur sa composition.

 

L’image de ces planètes sur les clichés ne serait pas plus grosse qu’un point lumineux, mais elle serait riche d’enseignements : « Nous pouvons espérer suivre les variations saisonnières de température, di Jean Schneider. De même, si nous trouvions de l’ozone, qui est a priori un sous-produit de l’activité biologique, nous aurions de fortes présomptions de l’existence d’une forme de vie. »

 

Une armada de télescopes géants

 

Si de telles recherches commençaient vers 2015, il faudrait patienter avant d’obtenir une image de la surface de ces nouveaux mondes. En effet, pour observer un détail de 100 km à 10 années-lumière de distance, il faut disposer d’un interféromètre de 100.000 km de base. Ce qui implique le lancement d’une armada de télescopes géants sur toute l’orbite de la Terre.

 

En attendant, les exobiologistes réfléchissent à une question essentielle : la vie surgit-elle systématiquement chaque fois que les conditions de son apparition sont réunies ? Car les conditions qui régnaient sur la Terre il y a quelques milliards d’années ne sont pas exclusives de notre planète. Mars était dans le même cas. S’il existe de nombreuses planètes dans la Galaxie, il y a des chances que le phénomène se soit souvent produit.

 

 

 

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" Le problème tient à la complexité minimale des premiers organismes vivants », avance André Brack, spécialiste de chimie pré-biotique au CNRS, à Orléans. « S’il faut peu de ‘pièces détachées’ pour fabriquer une entité capable de se reproduire, alors la vie apparaît chaque fois que les conditions sont réunies. Au contraire, si un million de pièces détachées sont requises, l’apparition de la vie devient très aléatoire. Et, même avec un million de planètes, nous sommes peut-être seuls. »

 

 

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Pour l’instant, les tests de laboratoire ne permettent pas de trancher. C’est pourquoi les exobiologistes se tournent vers les astronomes : la découverte de la vie ailleurs fournirait une indication importante. Plus qu’une véritable formule mathématique, l’équation de Drake est l’exposé d’une stratégie scientifique de recherche de la vie dans l’Univers. Les questions qui se posent sont énoncées dans un ordre logique. Les astronomes et les biologistes ont déjà entrepris de répondre aux premières…

 

L’équation de Drake

 

L’équation de l’astronome américain Franck Drake vise à évaluer le nombre probable (N) de civilisations dans la Voie lactée. Elle se présente sous la forme du produit des facteurs suivants : N* = nombre d’étoiles dans notre galaxie ; fp = fraction du nombre d’étoiles possédant un système planétaire ; ne = nombre de planètes d’un système donné où la vie est possible ; fl= fraction du nombre de planètes sur lesquelles la vie est effectivement apparue ; fi = fraction du nombre de planètes habitées sur lesquelles s’est développée une forme de vie intelligente ; fe = fraction du nombre de planètes habitées par des êtres intelligents sur lesquelles existe une civilisation technique de communication ; fL = fraction de la durée de vie planétaire accordée à une civilisation technique. Tous les f sont des fractions dont la valeur est comprise entre 0 et 1. L’équation s’écrit : N = N* x fp x ne x fl x fi x fe x fL.

 

  

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