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22 avril 2021 4 22 /04 /avril /2021 23:00

Développement personnel et Karma

Croire à la Beauté de ses Rêves et à la Magie de la Vie !

 

 

« Donnez une chance à la chance, alors elle devient nécessité. » André Régnier, les infortunes de la raison.

« La chance est la forme laïque du miracle. » Paul Guth, la chance.

« Nul n’est plus chanceux que celui qui croit à sa chance. » Proverbe allemand.

« La chance ne sourit qu’aux esprits bien préparés. » Louis Pasteur.

« Au commencement des temps, les mots et la magie étaient une seule et même chose. » Sigmund Freud.

« Le monde est sa propre magie. » Seijun Suzuki.

« L’univers est rempli de magie et il attend patiemment que notre intelligence s’affine. » Eden Phillpotts.

La magie était considérée comme une science divine qui permettait de participer aux attributs de la divinité elle-même. « Elle dévoile les opérations de la nature », dit Philon, « et conduit à la contemplation des puissances célestes ». Plus tard, elle dégénéra en sorcellerie par l’abus qu’on en fit et devint alors un objet d’exécration universelle. C’est pourquoi il nous faut l’envisager telle qu’elle existait dans les temps reculés où toute vraie religion était fondée sur la connaissance des forces occultes de la nature. 

La volonté est la première des puissances. C’est par la volonté du Créateur que toutes choses ont été créées et mise en mouvement. La volonté est la propriété de tous les êtres spirituels et elle s’exerce en eux d’autant plus activement qu’ils sont plus dégagés de la matière. Paracelse « le divin », comme on l’a appelé, renchérit sur le même sujet : « La foi doit fortifier l’imagination car la foi engendre la volonté. Une volonté ferme est le commencement de toutes les opérations magiques. C’est parce que les hommes ne conçoivent pas et ne croient point parfaitement aux résultats, que les arts sont incertains alors qu’ils pourraient avoir une certitude parfaite. L’incrédulité, le scepticisme, c’est le pouvoir contraire. A force égale, il peut tenir l’autre en échec la neutralisant même, parfois, complètement. 

Jusqu’à quel point, en effet, le monde dans lequel nous acceptons de fonctionner avec ses paramètres figés n’est-il pas le reflet des croyances arbitraires, des préjugés et des tics comportementaux hérités de notre génétique familiale ? Une génétique à laquelle viennent s’ajouter les très subtiles inductions constamment secrétées par notre société et l’énorme égrégore de stagnation émis par le genre humain dans ses automatismes primaires ; un égrégore qui tourne sur lui-même et s’autoalimente au sein de l’aura planétaire.

Nul doute qu’il faille se secouer pour sortir de cet état dès lors que l’on s’aperçoit du manque de sens de notre vie et de l’aspect répétitif de nos insatisfactions et difficultés souffrantes.

Se secouer, c’est bien sûr d’abord avoir le courage de s’observer soi-même dans ses habitudes rétrécissantes et son micro-univers virtuel intérieur constitué d’asservissements et de peurs.

Se secouer, c’est ensuite oser penser sa vie différemment pour la réinventer dans la direction de ce qui nous habite et, par répercussion, participer à la redéfinition de notre monde.

Dans un invisible très proche de nous, nos pensées sont des formes actives, des outils qui vivent et qui sculptent notre présent tout en ensemençant notre devenir.

A partir de cette prise de conscience, faisons tout pour les embellir, les ennoblir, les rendre constructives, les sacraliser.

 

 

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